Contributions sur le texte programmatique pour les municipales
Réponses 201 — 220 sur 374
7 juin 2019 17:10
Titre
Pour une vrai démocratie
Objectif
Insoumis ex Candidat aux législatives Gilets jaunes depuis le 17 novembre membre de la coordination Auvergne Rhône Alpes des GJ membre de la commission de l'appel des assemblées GJ membre de la délégation permanente du CNRR, dans les programmes des municipales il est primordiale d'inclure le RIC et non le Rip, pour une vrai démocratie et pour écouter le PEUPLE
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Inclure le RIC dans les programmes des municipales et primordiale. Pour une vrai démocratie pour un programme émergent du PEUPLES.
7 juin 2019 19:23
Titre
Stérilisation des animaux de compagnie ou errants
Objectif
Limiter le nombre de jeunes animaux tués ou abandonnés (ou mis à la poubelle !!!), ou livrés à eux même dans les rues. Ca limite par ailleurs certaines maladies notamment chez les femelles, donc les coûts de vétérinaire, difficiles à couvrir pour les foyers les plus pauvres et les personnes âgées dont la présence animale est particulièrement importante.
Niveau
Commune
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Passer des accords pour aider les associations à sensibiliser les propriétaires des animaux et à financer des campagnes de stérilisation des animaux errants (fréquent pour les chats dans les villages).
7 juin 2019 19:30
Titre
unité de la gauche
Objectif
arrêter la politique politicienne
Niveau
Les deux
Commune
Contribution
se mettre d'accord sur des objectifs communs de développement prenant en compte le bien commun et les soutenir TOUS ENSEMBLE (au moins toute la gauche)
7 juin 2019 22:13
Titre
Planification de la rénovation thermique
Objectif
Planification massive de la rénovation énergétique et thermique en milieu rural
Relance économique durable par le secteur du bâtiment
Croisement des secteurs marchand (artisans) et non-marchands (auto-constructeurs)
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es
Contribution
Il faut partir de ce constat : le secteur privé ne peut pas faire face au marché de la rénovation thermique des bâtiments existants. La demande est trop morcelée pour être attractive pour les entreprises qui se heurtent par ailleurs à un défaut quantitatif et qualitatif de main d'oeuvre.
On constate aussi que l'échelle d'action retenue par les politiques publiques (à savoir le logement privatif) n'est pas à la hauteur de l'urgence et de l'enjeu : la bonne échelle serait a minima celle de l’immeuble, ou mieux encore celle de l'îlot.
Donc les pouvoirs publics doivent se substituer au secteur privé : a) en partie seulement, et provisoirement, pour initier le mouvement ; b) en tant que maître d'ouvrage pour apporter professionnalisme ; c) en tant que financeurs directs.
Des opérations d’ampleur de rénovation immobilière du bâti existant, basées sur le principe du curage, de la déconstruction (plutôt que démolition) et de l'économie circulaire doivent être engagées par les communes en milieu rural.
Dans la pratique :
A partir d’un fonds régional dédié, et avec l’assistance technique des conseils départementaux, des DREAL ou de l'ADEME, la commune (ou la communauté de communes) entreprend la construction d’un logement collectif à haute ambition architecturale (correspondant à 3 ou 4 F3/F4). Ces logements seront des hébergements temporaires destinés à accueillir les habitants des immeubles rénovés énergétiquement.
La commune réalise l’inventaire des immeubles et les classe en fonction de leur performance isolante. Les logements vacants et/ou insalubres sont identifiés.
Un appel à candidature est lancé.
Sur la base du volontariat ou par tirage au sort, en fonction du classement de l’immeuble, et/ou en suivant le principe du premier arrivé/premier servi, la commune (ou un organisme, par délégation) assure la maîtrise d’ouvrage déléguée et prend en charge la maîtrise d’oeuvre, l’hébergement temporaire (gratuit), et le coût des matériaux (gros œuvre et isolation). Le second œuvre et la décoration reste évidemment à la charge des propriétaires.
L’opération de rénovation peut idéalement (et prioritairement) porter sur des immeubles regoupés en îlots (ou en continuité). Dans ce cas, les propriétaires devront s’engager à se constituer en copropriété. En contrepartie, le fonds régional financera en plus l’installation d’un chauffage collectif pour l’ensemble de la copropriété (voir des équipements communs, type lavage, compost, ...).
A l’issue de l’opération immobilière, les habitants rejoignent leur logement rénové et une autre opération prend la suite.
Avantages :
1) Pas besoin d’attendre une nouvelle loi ; l’initiative locale peut suffire.
2) Relance économique durable par le bâtiment.
3) Les travaux se déroulent en site inoccupé, donc durent moins longtemps.
4) Le principe d’économie circulaire réduit les dépenses en matériaux neufs.
5) Du fait que la puissance publique ne paient que les matériaux, les propriétaires sont incités à participer à la main d’oeuvre pour abaisser/optimiser le coût des travaux. Les auto-constructeurs pourraient trouver une place dans ce schéma.
6) La création architecturale est relancée.
8 juin 2019 08:30
Titre
Prévention dans le domaine de l'addictologie
Objectif
Implication dans les politiques nationales de prévention des conduites addictives et d'accès aux soins et aux droits des usagers de drogues, y compris alcool et tabac.
Le chapitre "III/ Santé et éducation pour tou·te·s !" convient tout à fait.
Le titre proposé se substitue dans le même chapitre à "Adopter un plan global de lutte contre le fléau de la drogue". Un tel plan global est de compétence Etat, élaboré par l'ARS qui a besoin des communes de sa région pour le mettre en oeuvre.
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Attention au vocabulaire, qui date des années 1970, et dénote aux yeux des toxicomanes et professionnels concernés par le sujet une méconnaissance complète de la FI sur ce sujet :
- Supprimer le mot "fléau". S'il y a fléau, il concerne d'abord - nombre de morts - le tabac et l'alcool. Aujourd'hui, en addictologie, on traite de l'ensemble des usagers ("consommateurs") et des usages, et d'autant plus que les usages sont croisés.
- Supprimer le mot "desintoxication", qui date des mêmes années et ne reflète absolument plus la réalité des soins.
Pour plus d'éléments de compréhension : voir la Fédération Addiction ou faire appel à moi en s'adressant au GA du Havre.
- Supprimer "Travailler étroitement avec la police nationale, la gendarmerie ou la douane pour démanteler les trafics" : la tête de chapitre est "III/ Santé et éducation pour tou·te·s !" donc il s'agit de traiter de la santé, pas de la lutte contre le trafic ou même contre "la drogue" (voir objectif). Par ailleurs c'est une évidence : une commune travaille étroitement lorsqu'il le faut et quelque soit le sujet, avec la police, la gendarmerie et la douane, pourquoi le répéter ici ?
- Remplacer "des salles ou des équipement mobiles" par "des espaces".
- Remplacer "réduire les pratiques à risque et lutter contre la consommation de la drogue" par "réduire les pratiques et les consommations à risque concernant toutes les drogues" : lutter contre la consommation de drogue, c'est lutter contre les consommateurs, très clairement. Toutes les drogues incluent tabac et alcool.
- Remplacer "Proposer un plan d’accompagnement des personnes toxicomanes : psychologie, désintoxication, relogement… en collaboration avec les associations et le ministère de la santé ; sensibiliser les consommateurs aux impacts de leur consommations sur la tranquillité et la sureté." par " Contribuer à la mise en oeuvre des politiques publiques de prévention des conduites addictives, de réduction des risques et des dommages, et de soin aux personnes dépendantes d'un produit". Ça fait 50 ans que le dispositif existe, donc il n'y a rien à proposer. En revanche la collaboration et le soutien des communes et inter-communalité font défaut (elles se défaussent en arguant, à juste titre, que le sujet n'est pas de leur compétence) et seraient fort utiles.
8 juin 2019 09:58
Titre
Repenser le fonctionnement de la FI ,
Objectif
Repenser le fonctionnement de la France Insoumise , j Aimerais que l on puisse aborder ce sujet , je trouve cette contribution très interressant , pourquoi n est elle pas publier ce le site de la plateforme et envoyer à tous les insoumis, avant d aborder les municipales
Niveau
Les deux
Commune
Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Le fort recul électoral de la France insoumise aux élections européennes par rapport aux dernières élections présidentielle et législatives a de multiples causes que nous ne prétendons pas analyser ici. Force est de constater que nous n’avons pas, après la séquence présidentielle de 2017, su maintenir la dynamique et nous ancrer fortement et durablement dans la société. Des signes avant-coureurs nous laissaient craindre un recul, même si nous ne nous attendions pas à ce qu’il soit aussi marqué, notamment l’affaiblissement du réseau militant et les départs de plusieurs responsables. Si les causes de l’échec sont multiples, notre conviction est qu’il est en grande partie lié au mode de fonctionnement de notre mouvement depuis sa création. Sur cette question comme sur d’autres, une sérieuse analyse interne est indispensable.
Cette note est donc une contribution interne et positive pour nourrir la réflexion et nous aider à faire face à l’avenir dans l’inquiétant panorama politique actuel. Elle témoigne également que ce mouvement est notre bien commun et que nous souhaitons le promouvoir.
Faute d’instances de débat et de délibération communes, nous n’avons pas d’autres solutions que de l’adresser aux principaux responsables et élu.e.s du mouvement.
La France insoumise, née autour de la candidature de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, a voulu se constituer comme un mouvement large, ancré dans la société, souple dans son fonctionnement et qui ne répète pas certains travers des partis politiques traditionnels (luttes entre fractions et personnes, etc.). De cette conception est notamment née une organisation en groupes locaux (d'abord « groupes d'appui » puis « groupes d’actions ») disposant chacun d’une grande autonomie et permettant de regrouper des personnes ne souhaitant pas s’ « encarter » dans un parti politique.
Mais, en parallèle, aucune véritable instance de décision collective ayant une base démocratique n’a été mise en place. Ceci ne signifie pas que les membres de la France Insoumise ne soient pas consultés, ne puissent pas donner leur avis (consultations en ligne sur les programmes ou sur les campagnes, conventions) ou ne puissent pas s’impliquer dans le travail national au travers notamment les équipes thématiques. Mais les décisions stratégiques fondamentales sont finalement prises par un petit groupe de personnes, dont on ne connaît même pas précisément la démarcation - prérogatives, champ d'action, identité, statut sans qu’ils aient pour autant reçu de véritable délégation de la part du mouvement pour le faire.
Les positions politiques publiques proviennent essentiellement du groupe parlementaire, qui a bien entendu toute légitimité pour prendre des positions, mais qui n’a pas reçu de mandat de la part du mouvement pour le faire en son nom. Ne pas reproduire les travers des partis traditionnels est évidemment une problématique cruciale ; mais si nous n'y prenons garde, notre mouvement finira par tomber dans les excès de ceux qu'on a appelés des « partis d'élus ». Les équipes thématiques peuvent également prendre des positions, mais généralement sans qu’elles ne soient assumées par le mouvement en tant que tel et sans possibilité d’utiliser les outils de la FI (site internet) pour les faire connaître, ce qui constitue d’ailleurs bien souvent un facteur de découragement des militant.e.s impliqué.e.s dans les équipes thématiques. La campagne des élections européennes a été particulièrement impactée par ces incertitudes (tiraillements programmatiques autour de la stratégie plan A/plan B, mot d’ordre de « référendum anti Macron », relativisation du rôle des députés européens, procédures d’arbitrage autour des questions animales/agricoles ou bien des droits d'auteur en lien avec le programme et les livrets, manque de liaisons entre les équipes thématiques, les candidat.e.s et les réponses de l'équipe de campagne aux courriers extérieurs, annonce d'une « fédération populaire » à venir...). Une certaine logique descendante a été ressentie à la base par les insoumis.es dans les groupes d’actions et les ex-candidats signataires en ont souvent été témoins durant la campagne sur le terrain.
Les Conventions nationales remplissent certes une fonction de communication, les méthodes issues de l’éducation populaire avec des participant.e.s tiré.e.s au sort peuvent permettre de « prendre le pouls » des participants sur différentes questions, mais elles ne peuvent en aucun cas structurer un débat démocratique impliquant les membres, les groupes locaux et des instances représentatives et n'aboutit pas à des décisions. Quant au travail d’élaboration programmatique, les décisions finales relatives aux amendements des insoumis.es sont prises hors de toute délégation explicite et sans transparence sur les circuits de décision et motivations des choix réalisés en notre nom. Les textes sont bien sûr finalement approuvés par voie de consultation internet, mais sans aucune exigence particulière quant au niveau de participation et sans que les insoumis.es ne soient invité.e.s à trancher les éventuels points faisant débat, et qui au demeurant ne sont pas identifiés.
Ce type de fonctionnement n'a pas posé de réel problème tant que nous étions dans la campagne électorale pour les élections présidentielle et législatives. Nous avions alors en effet besoin d’un mouvement pleinement engagé dans la campagne tel une « armée en marche ».
Mais, un tel fonctionnement n’a plus de justification et n’a pas d’avenir une fois cette phase passée. Et il est dangereux pour l’avenir du mouvement. Or, les évolutions attendues par beaucoup en termes de fonctionnement démocratique ne sont pas arrivées. Nous sommes nombreux à avoir été consternés, et sans instance pour en parler, de voir que, le temps passant, aucun processus de structuration démocratique n’était engagé. Les annonces faites quant à la mise en place d'une instance permettant une « meilleure coordination » entre les différents « espaces » du mouvement ne résolvent en aucun cas ces problèmes de fond. Il est d'ailleurs à noter que les outils annoncés lors de la convention de décembre ne sont toujours pas institués, et que la synthèse des réflexions sur la structuration du mouvement n’est toujours pas publiée à notre connaissance. Elle était pourtant brandie comme devant répondre aux inquiétudes que certains d'entre nous exprimaient dans un courrier interne daté du 9 janvier. Et à nouveau, il est prévu d'y réfléchir lors de l'assemblée représentative du 23 juin... Mais que deviennent les contributions ?
De même, le fonctionnement pouvait ne pas poser de problème majeur tant qu’il n’y avait de pas débats de fond à arbitrer (question européenne, relations avec le reste de la gauche...), tant que l’attitude et la stratégie des dirigeants semblaient incontestables et tant que la question de la nomination de candidats à une élection nationale ne se posait pas. Mais, dès que ces conditions n'ont plus été réunies, suite notamment aux perquisitions et dans le cadre de la préparation des élections européennes, nous avons pu constater que les problèmes pouvaient surgir très rapidement. Et bien entendu, nos ennemis ont su exploiter la situation, contribuant à notre affaiblissement.
Les réponses faites à ce type de critiques sont connues : « Nous ne voulons pas fonctionner comme un parti politique classique, nous sommes un mouvement ». Mais d’où vient cette idée qu’un mouvement perdrait son identité de mouvement dès lors qu’il se doterait de véritables instances collectives et démocratiques de débat et de délibération ? Bref, dès lors qu’il installerait, en l’améliorant, ce qu’il y a finalement de plus positif dans le fonctionnement de certains partis politiques ou tout simplement d’autres organisations du mouvement social que nous côtoyons ?
Cette prétention de construction d’un mouvement suffisamment « gazeux » pour être à l’abri des tensions entre « courants » ou « fractions », et à l’abri des enjeux de pouvoir, est un leurre.
D’une part, il existera toujours des sujets de débat. Refuser d’organiser démocratiquement ces débats c’est se condamner à ce que, peu à peu, tous ceux et toutes celles dont le point de vue n’aura pas été retenu par la « direction » s’écartent du mouvement, que ce soit ou non de manière silencieuse : non pas parce que leur position n’aura pas été reconnue comme majoritaire, mais parce qu’ils n’auront pas eu la possibilité de la défendre et de la voir tranchée démocratiquement. Ou alors il faudrait que le petit groupe décisionnel ait la capacité suffisante de construire des consensus entre les différents points de vue, ce qui est beaucoup lui demander. De plus, un consensus est accepté par les uns et les autres quand il est ressenti comme un consensus où les uns et les autres ont renoncé à leur position initiale (sur le modèle des ateliers des lois). Une même position a priori consensuelle, mais élaborée et tranchée par un petit groupe sans légitimité démocratique, risque fort d’être rejetée alors même qu'elle aurait été acceptée dans le cadre d’un processus participatif et partagé de construction de ce même consensus. D'autre part, les ambitions individuelles et enjeux de pouvoirs semblent ne pas pouvoir être supprimés. La question est alors de savoir comment les réguler, c'est-à-dire de déterminer les modalités d'un accès démocratique à des responsabilités (dans les instances internes ou en matière de candidature aux élections) à l’issue d’un débat éclairé. Dans le cas contraire, le mouvement ne fera que nourrir les frustrations et accélérer le départ de celles et ceux qui sont écarté.e.s.
Enfin, comme en témoignent plusieurs épisodes de la campagne des européennes, l'absence de statuts – définissant notamment la qualité de « membre » du mouvement et les modalités de son « exclusion » ou encore édictant des règles de cumul de fonctions au sein du mouvement – est particulièrement préjudiciable, puisque ces faits sont systématiquement exploités par nos adversaires et minent par ailleurs la confiance des militants dans le mouvement.
Finalement, l’ambition que nous avions pour certains au sein du Parti de gauche de constituer un « parti creuset » et la prolongation, voire le renforcement de cette logique dans le cadre du mouvement de la France insoumise, apparaît contradictoire avec le fonctionnement actuel de la FI qui combine une certaine horizontalité en termes de fonctionnement, mais une grande verticalité en termes de décisions collectives. Les événements des derniers mois en témoignent. Mais, au-delà du départ de personnalités connues, le plus inquiétant est l’affaiblissement global du mouvement et les départs silencieux de celles et ceux qui ne reviennent plus car tout simplement ils.elles ne se sentent plus « à l’aise » ou « utiles » dans le mouvement. En d’autres termes, l’identification au mouvement s’estompe, sans que les causes profondes ne soient nécessairement exprimées, voire analysées de leur part.
Il est indispensable de comprendre qu’en France et au XXIème siècle, il n’y a pas de viabilité à moyen et long terme d’un mouvement fortement ancré dans la société sans une pleine identification de ses membres au mouvement. Ceci implique, au-delà de l’engouement lors d’une campagne pour un homme/une femme et un programme, qu’ils se sentent pleinement partie prenante des décisions et souverains sur la composition des instances et la nomination des responsables du mouvement et des candidats aux élections. La perte d'un nombre considérable de militants, mettant même en péril la possibilité de présenter des listes aux municipales, devrait à elle seule retenir l'attention des dirigeants.
Sans trancher ici sur les alternatives possibles, nous considérons qu’il y a urgence à nous doter d’une véritable structuration démocratique qui soit notamment en mesure d’organiser l’indispensable débat interne sur notre stratégie pour les mois et les années à venir.
En tout état de cause, pour l'Assemblée représentative du 23 juin, il est indispensable que :
De véritables débats contradictoires puissent avoir lieu, ce qui implique que le temps nécessaire y soit consacré. De ce point de vue, l'organisation en ruches paraît parfaitement insuffisante si elle ne débouche pas sur des prises de parole en pour et contre qui laissent se déployer les arguments ;
Les insoumis aient la possibilité de proposer des textes au vote de l'Assemblée, textes qui trancheront la ligne politique à suivre et surtout les contre-pouvoirs internes permettant de la valider tout au long des prochaines séquences, électorales ou non ;
Le principe d'une assemblée constituante du mouvement soit acté pour la rentrée prochaine, en charge notamment de définir la structuration et le mode de fonctionnement démocratiques de notre mouvement.
Nous demandons en conséquence que le processus d'organisation en amont soit transparent, la plate-forme numérique soit d'ores et déjà ouverte pour accueillir les propositions ; que l'ordre du jour de l'Assemblée soit voté par celle-ci ; que cette Assemblée ne soit pas clôturée par un grand discours mais par une synthèse des travaux.
8 juin 2019 10:11
Titre
Commerçants de proximité quel avenir
Objectif
Les petits commerçants , non franchisé, qui ne sont pas liée à la grande distribution doivent reprendre le pouvoir dans nos ville, aujourd’hui ce sont les banques, les technocrates municipaux les syndicats de branche du commerce , ( les barons ) et les élus qui décident de tout, redonner du pouvoir aux artisans, aux petits commerçants dans nos centre ville
Niveau
Commune
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Commerces de proximité à Paris : les gros doivent payer gros , les petits doivent payer petit
Droit de terrasse / Loyer des locaux/ Respect des normes lié au handicap, à l’hygiène et à l’ecologie / Loyer des TPE/ Loyer EDF, Gaz / Amendes livraison
Propreté , entretien des trottoirs / Prêt bancaire à taux zéro ( travaux, aménagement, investissement de matériels ) / frais bancaires ( adgios, ATD, intérêts , TPE etc...) / circulation / livraison
- Rendre le pouvoir de décision aux peuples des petits commerçants indépendants de proximité et aux citoyens parisiens , que se soit dans les organismes , commission existants lié aux commerces à Paris , les services municipaux d’urbanisme etc...ce ne sont plus aux experts, aux techniciens, aux technocrates de décider à notre place mais aux petits commerçants et aux citoyens
- Ce ne doit plus être aux banques, à la grande distribution et aux bailleurs privės , aux technocrates de dicter leurs lois du petit commerce à Paris , de faire la pluie et le beaux temps mais aux petits commerçants et aux citoyens
- Pour les aides et le soutien aux petits commerces de proximité, On ne peut plus être sur des règles uniquement comptables lié au cotations bancaires, boursières, aux règles contraignantes d’expert comptable , ni aux critères et règles technocratiques qui ne servent qu’à l’administration bureaucratique et non le développement , la qualité et le dynamisme du petit commerce etc.. des règles et des critères oui mais aux services des petits commerçants.
- Dans tous les organismes existants ( la siagi, le Pie, la semaest, Siemp, rivp etc..(branche commerce de proximité), commission du commerce et de l’urbanisme etc..Nous proposons que les pouvoirs de décision soient répartis :
- 40 % petits commerçants indépendants tirer au sort
- 30% citoyens tirer aux sort
- 10% élus
- 5 % d’experts ( urbanistes, technocrates , experts comptables Etc..) ,
- 5% banques
- 5% syndicats professionnelles, de commerçants ,
- 5% associations de commerçants et d’usagers , organismes publics divers
- Si les banques ne veulent pas jouer Le jeux , nous aiderons à la création d.un service bancaire D’intérêt general aux services des petits.commerçant indépendant
- Création d’une assemblée citoyenne des litiges (commercants, services de la ville, bailleurs privė) avec de réels pouvoir de décisions
- Création d’une assemblée citoyennes de transparence sur les sources de financement, les taxes , les budgets liės a l’activité et aux développement du petit commerce avec de réels pouvoir de décisions
- Création d’une assemblée de commerçants et de citoyen qui aura comme ambition de trouver des solutions pour les livraisons , le stationnement, la circulation s’inscrivant dans une écologie non punitive et le plan climat
- Transport, circulation, stationnement ; Ce sont les gros, la grande distribution , les multinationales implantées sur Paris et l’ile de France qui doivent faire l’effort de payer cette ambition , les actionnaires de ses entreprises doivent contribuer en partagent leurs dividendes
-
- BPI : Les aides du petits commerces liées ã BPI ( banque public d’investissement ). L’acces aux crédits , Difficulté de trésorerie , rénovation , travaux, rachats, mise normes écologiques et handicapé, acquisition de fond de commerce
- On ne peut plus être sur des règles uniquement comptables lié au cotations bancaires, boursières, aux d’expert comptable, nous proposons :
- Changer la composition des instances de BPI, ne pas laisser le pouvoir aux banquiers et à la grande distribution, et aux technocrates et experts de quelque nature que se soit , les petits commerçants et les citoyens doivent être présents et majoritaire dans cette instance
- Les règles et critères doivent avant tout être au services des projets humains des petits commerçants, du développement de la proximité des quartiers , de l’écologie non punitive et du handicap
- les critères des infractions, des amendes liés au non respect des de l’urbanisme et de l’espace publique que subissent régulièrement les commerçants ne peuvent plus être définis uniquement par l’administration , ces critères doivent être définis en collaboration avec les citoyens et les commerçants, en cas de litiges se sera à l’assemblée des litiges de trancher
Comment financer ces propositions ?
- avec l’aide De l’assemblée citoyenne de transparence sur les sources de financement, les taxes ,des budgets dédiés a l’activité et au développement du petit commerce composé de petits commerçants et de citoyens tirė au sort,
- nous proposons de lister tout l’argent existant lié au petit commerce
- de chiffrer l’ensemble de ses mesures et des besoins
- de proposer une planification dans le temps de l’inscription de toutes ses mesures
- de creer si nécessaire pour financer ces mesures , une taxe payer par la grande distribution , les banques et les grosses entreprises de Paris et D’île de France
8 juin 2019 10:19
Titre
Décentralisation, lois MAPM et NOTRe
Objectif
Analyse et conséquences de la nouvelle étape des lois de décentralisation inaugurée par les lois MAPAM et NOTRe , commencée sous SARKOZY, poursuivie sous Hollande mise en œuvre sous MACRON avec la même continuité.
Il faut faire cette analyse, audit économique et conséquence démocratique . Transfert des pouvoirs vers les agglomérations et métropoles, privatisation aux travers des DSP et PPP. Quelles marges de manœuvres restent aux mairies aux habitants et où sont prises les décisions ?
Niveau
Les deux
Commune
De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es
Contribution
Le meilleur des programme butera sur la réalité de l'existant. Sans un bon diagnostic de l’environnent des fonctionnements des communes agglomérations depuis les différentes lois de décentralisations . Dans les faits les communes ont peu de pouvoir et pas de marge financière. Tout ce décide à un niveau : l'agglomération avec le partage les postes de responsabilités entre les différentes composantes politiques (droite et gauche) les accords font que les budgets sont votés en commun. Il ne reste donc qu'une opposition factice lors des élections, puis ensuite des ententes pour les dossiers , ce dans la majorité des cas , dans l'opacité complète.
Cela doit éviter un décalage démocratique avec les populations, surtout à la clarté sur des accords éventuels avec d'autres composantes. La question une fois le programme adopté quelle partie va être abandonnée en vue d'accord ? ces questions doivent être débattues !
8 juin 2019 10:19
Titre
Dénoncer les m2 illégaux des gms
Objectif
Redonner du souffle au commerce de proximité en faisant appliquer la loi quant aux agrandissements de certaines gms.
Niveau
Les deux
Commune
De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Les élus (candidats) insoumis denonceront ces situations illégales. De façon à respecter les commerces de proximité.
8 juin 2019 10:59
Titre
Listes en partenariat à gauche
Objectif
Rompre avec l'approche hégémonique de LFI, monter des programmes municipaux en partenariat avec nos partenaires antilibéraux, à partir des réalités de terrain locales, pour une société humaniste et solidaire, avec mise en place de la démocratie participative.
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Cette proposition soutient la proposition '8 juin 2019 10:11' précédente.
La position hégémonique de LFI est excessive, elle a favorisé l'émiettement et le discrédit de la gauche, elle a fait finalement le jeu du système libéral. L'Assemblée Représentative du 23 juin devra se positionner vis-à-vis de la démarche 'Big-Bang'.
En ce qui concerne les municipales, il est parfois/souvent possible de former une équipe soudée dont les membres, issus de divers partis ou organisations ou non encartés, viennent à titre individuel. Cette équipe converge rapidement vers des propositions pertinentes concernant leur commune, une démarche citoyenne participative peut être mise en place pour structurer le programme. Les partis/organisations sont bienvenu(e)s pour apporter leur soutien mais ils(elles) ne sont pas à l'initiative de la démarche.
8 juin 2019 11:09
Titre
CORRECTION /Listes en partenariat à gauche/
Objectif
Lire : "Cette proposition vient en soutien à la proposition 'Repenser le Fonctionnement de la FI' " (et non 'proposition 8 juin 2019 10:11')
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es
Contribution
Lire : "Cette proposition vient en soutien à la proposition 'Repenser le Fonctionnement de la FI' " (et non 'proposition 8 juin 2019 10:11')
8 juin 2019 11:42
Titre
Lutter efficacement contre la pollution plastique.
Objectif
La catastrophe actuelle de la pollution de nos mers et océans est plus grande qu'on ne le croyait. Le plastique qui s'y retrouve part de...chez nous tous. Il y a urgence et des solutions existent. En Australie ,des filets sont mis en place à chaque sortie d'égouts, de petits cours d'eau qui rejoignent les rivières qui elles mêmes transportent les déchets jusqu'à la mer. Des sociétés de récupération et transformation du plastique voient le jour et sont créatrice d'emplois. Proposons ces solutions
Niveau
Les deux
Commune
De 10 000 à 100 000 habitant⋅es
Contribution
Installation de filets récupérateurs du plastique à chaque sortie d'égouts et embouchure petits cour d'eau rejoignant les rivières et fleuves. Valorisation de ces déchets via les centres de recyclage français existants et créateurs d'emplois.
8 juin 2019 12:12
Titre
Rationnaliser, simplifier, résumer...
Objectif
La proposition sur les mutualisation, vise à assurer l'égalité républicaine sur tout le territoire. La proposition sur la forme du document final vise à favoriser sa lecture par le plus grand nombre
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Nous vivons dans la fiction de communes qui ont toutes les mêmes missions, alors qu'elles ne disposent pas toutes des mêmes moyens. Plus de 21000 communes françaises ont moins de 1000 habitants : cela représente un cout considérable pour un service rendu à la population à peu près nul. En favorisant et en encadrant toutes les formes de mutualisations (communes nouvelles, services communs, intercommunalités à la carte...), nous avons une chance de développer les services locaux (de vrais CCAS, des politiques culturelles, des politiques éducatives, le portage de structures d'insertion...), dont sont privés les habitants de ces territoires.
Dans la version actuelle du document, on retrouve bien les trois piliers de LFI (urgences démocratique, sociale et écologique) ; mais ce document doit devenir plus lisible :
- Il comporte des sigles non explicités, des expressions trop techniques, un niveau de langage parfois inutilement compliqué,
- il propose des actions qui ne relèvent pas des compétences communales (ou intercommunales),
- orientations, objectifs, moyens, actions ne sont pas ordonnés, ce qui donne un sentiment de catalogue ou d'inventaire à la Prévert,
- il manque une "adresse" aux équipes locales, sur le travail à accomplir pour bâtir un projet à proposer aux électeurs, la méthodologie et l'éthique à mettre en œuvre dans ce cadre (le document programmatique ne doit pas se substituer à ce nécessaire travail local),
- il manque des petits résumés clairs, aérés et bien mis en évidence à la fin de chaque chapitre...
8 juin 2019 12:14
Titre
Bien vivre ensemble
Objectif
Créer des lieux de cultes partagés dans les villes.
Ce qui permet de developper le bien vivre ensemble, entre toutes les communautés religieuses et non religieuses, permet de developper la connaissance des cultures différentes et d'échanges.
Participe à la vie locale et citoyennne de nos villes en respectant les valeurs républicaines.
Permet de luttercéfficacement contre l'idéologie véhiculé par l'extrème droite.
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Une sorte de lieu unique du «vivre-ensemble» qui servirait de mosquée le vendredi, de synagogue etc..
Ces lieux multicultuels sont à developper en france. "1 seul existe en france".
Le temple libre de Moncton, au Canada, a été ainsi un des rares exemples de lieu de culte interconfessionnel. Construit en 1921 pour accueillir les croyants des différentes religions.
A Berlin, l‘idée d'une “Maison de l'Unique ” qui réunit les trois monothéismes a été lancée en juin 2014.Autre initiative: à Londres, le projet «Friday, Saturday, Sunday», (un juif, un chrétien et un musulman).
En France, une seule initiative de ce genre a pour le moment vu le jour. A Bussy-Saint-Georges, en Seine-et-Marne, un projet de «quartier multicultuel» a vu le jour: il s'agit d'un ensemble de bâtiments composé de deux temples bouddhistes, une mosquée, une synagogue et une église évangélique protestante chinoise, construits côte-à-côte pour favoriser le dialogue inter-religieux.
Ceci permettra, de garantir la cohésion sociale dans les villes et communes.
Il nous faut croire, en une laïcité apaisée respectant les religions, qui peuvent être le ciment de la société et élever l'homme.
Cette contribution permettra à mon sens, de developper le bien vivre ensemble et de fait permet aussi de lutter contre les idées recus, et contrer les thèses du RN .
8 juin 2019 13:51
Titre
ACCESSIBILITE UNIVERSELLE
Objectif
Application de la loi du 11 février 2005 concernant les droits des personnes en situation de handicap, 12 millions selon l'INSEE,
Handicap toujours 1ère cause de discrimination selon le défenseur des droits
Personne n'est "immunisé" contre le handicap.
Egalité des droits des personnes valides et des personnes en situation de handicap
Permettre aux enfants en situation de handicap d'avoir une scolarisation avec leurs camarades valides, recrutement d'accompagnat(e)s d'enfants handicapés
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Controler les établissemens recevant du public sur le respect de la loi accessibilité
Faire respecter la loi d'accessiblité aux établissements recevant du public
Aider les établissements recevant du public à appliquer la loi sur l'accessibilité
Encourager les établissements recevant du public qui sont accessibles à tous
8 juin 2019 14:13
Titre
projets publics financés par le budget public
Objectif
Ne pas augmenter dans la conscience des citoyens et les pratiques l'idée selon laquelle les citoyens financent directement ce qui est de droit. Les services publics sont financés par l'Etat, les impots. Les budgets participatifs ou mécénats qui fleurissent font du mal à nos combats pour une égalité de droits, d'accès à la culture sur le territoire.
Niveau
Commune
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Supprimer dans notre axe 1 , dans "affronter les lobbies et le pouvoir de la finance", la proposition d'emprunt citoyen pour financer des écoles ou des centres culturels.
8 juin 2019 14:18
Titre
ASPA
Objectif
Retraite à 62 ans?
Alors ASPA versée à 62 ans, sans condition!
Aujourd'hui, ce n'est qu'à l'âge de 65 ans que l'on peut percevoir cette allocation...
Il est urgent d' inverser la tendance à...
" Prendre l'argent chez les pauvres...car ils n'ont pas beaucoup d'argent mais ils sont nombreux les pauvres"...
Et d'offrir à tous un minimum...de fric sans flic...pour garder le goût de vivre...
Tous ensemble, tous ensemble...
Niveau
Les deux
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es // De 2000 à 10 000 habitant⋅es // De 10 000 à 100 000 habitant⋅es // Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
A lire plus haut...
8 juin 2019 16:34
Titre
Accès aux OD des CM, aux, délibérations, aux CR
Objectif
Permettre aux citoyens de connaître la vie du Conseil municipal, d'être informé et de participer aux décisions.
Dans certaines petites communes, c'est impossible. Opacité et copinage sont la règle
Niveau
Commune
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es
Contribution
rendre obligatoire un accès aisé et rapide aux travaux des CM:
-Dates et heures des CM, ordre du jour
-Diffusion sans délai des comptes rendus. Dans certaines communes , les CR ne sont diffusés qu'après des mois, notamment parce qu'ils ne sont pas "approuvables" lors du conseil suivant. Or les délibérations sont prises quand même.
-Diffusion sans délai des délibérations, notamment avant leur application
8 juin 2019 16:39
Titre
Revoir le fonctionnement des SDE 'syndicats d'élec
Objectif
Permettre aux communes de retrouver le pouvoir délégué aux SDE.
Niveau
Commune
Commune
Moins de 2000 habitant⋅es
Contribution
Chaque décision du SDE doit être communiqué aux communes qui doivent informer les citoyens, cela avant que les décisions ne s'appliquent. Passage au CM.
Le citoyen doit retrouver la maîtrise des décisions concernant l'éclairage public. Il est anormal que des travaux onéreux d'éclairage publics soient réalisés sans utilité (campagne, axes sur-éclairés etc...) au prétexte que si la commune ne le fait pas, c'est une autre commune qui bénéficie du financement.
8 juin 2019 17:06
Titre
Réduction des indemnités du maire / Psdt métropole
Objectif
Sur le plan stratégique, cette proposition permet de présenter une mesure simple en rupture avec les gestions municipales actuelles.
Elle s'inscrit dans le cadre général posé par la Révolution citoyenne et la refondation démocratique de la France.
Les écarts de revenus entre un chef d'exécutif et ses adjoints, encore plus entre un chef d'exécutif local et ses administrés, sont intolérables. Cette mesure est consensuelle.
Niveau
Les deux
Commune
Plus de 100 000 habitant⋅es
Contribution
Il s'agit de diviser par deux les indemnités des maires et présidents de métropole.
Cette proposition entend proposer une rupture avec l'exercice somptuaire de nombreux mandats locaux, particulièrement dans les grandes villes : le cumul des mandats de maire et de Président de métropole permettent d'atteindre le plafond d'indemnités, soit plus de 8 000 euros net par mois.
Cette somme est extravagante, y compris au regard des indemnités pour les adjoints.
La division par deux de ces indemnités permet de financer au moins un adjoint supplémentaire dans les équipes municipales insoumises.
Elle peut être mise en avant comme point de rupture avec les majorités précédentes.