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Contributions sur le texte « Plus que jamais, l’avenir en commun ! »

Réponses 21 — 40 sur 238


19 juin 2020 21:02
Titre
Une restructuration ambitieuse, écologique et sociale des modes de transport européens et nationaux.
Contribution
-> un objectif: avoir développé suffisamment d'infrastructures ferroviaires, cyclables et de tramways pour pouvoir interdire la voiture dans 50 ans et pour interdire les vols à l'intérieur de l'UE. -> retrouver le réseau ferroviaire du début du 20è siècle en ré-investissant massivement les lignes rurales. -> privilégier le tramway dans les moyennes et grandes villes car moins cher que le métro. -> lancer de grandes politiques d'aménagement cyclable sur le modèle de Copenhague dans les métropoles. -> Doter tous les français d'un vélo électrique made in France pour place chaque citoyen à moins de 30 minutes en vélo d'une gare. -> à l'échelle européenne, lancer une grande politique de LGV entre les capitales pour mailler efficacement l'Europe en train. ->Réinvestir massivement dans le fret ferroviaire de marchandises, bien moins polluant.

19 juin 2020 21:26
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Le modèle de l'arbre pour une société future
Contribution
Il est temps d’abandonner l’idéologie de la croissance pour celle du développement. L’exemple végétal est un bon modèle de flux d’énergie et de matière en relation avec la croissance et le développement. Dans tous les cas du monde vivant l’achèvement du développement est synonyme de fin de croissance, de maturation, de state adulte. Le schéma de l’arbre adulte est celui où toutes les branches ont fini par se développer, c’est-à-dire ont bénéficié d’une répartition de l’énergie et de la matière entre elles. Durant la croissance économique que nous avons connue, les énergies, surtout non-renouvelables, et leur répartition étaient, et sont plus que jamais, contrôlées par un petit nombre de gens, les détenteurs de capitaux. C’est l’économie capitaliste qui, en concentrant les moyens a permis le développement industriel. Le communisme marxiste, quant à lui, a fonctionné comme capitalisme d’état. Mais, comme chez les végétaux, où l’accaparement des ressources par les cellules apicales inhibe les ramifications, et permet la croissance en hauteur du végétal, les détenteurs de capitaux déterminent la direction de la croissance par la concentration des moyens entre leurs mains. Cette croissance a jusque là permis un développement certain, en France par exemple. Ce développement a créé des structures, qui sont le résultat de ce développement, comme les villes, les routes, le chemin de fer, les écoles, les hopitaux etc. Chez les végétaux le vieil arbre doit s’abattre pour laisser la place aux jeunes, mais entre temps il aura achevé son développement en créant les semences contenant les informations génétiques qui devront être développées après la croissance nouvelle etc. Ces semences sont l’équivalent de la civilisation en tant qu’ensemble de savoirs et contiennent l’information, comme l’ADN, pour reconstruire une autre société viable. Mais pour cela il faut que la société soit mature, cesse de croître en volume et encombrement et développe enfin toutes ses capacités de résolution des petits problèmes quotidiens. Pour cela on n’a pas besoin de plus d’énergie mais de plus de structuration. Alors, quelle méthode utiliser pour parer à la fin de la croissance économique par manque d’énergie et par encombrement des déchets? Une structuration étatique qui s’appuiera sur les structures existantes des états actuels, un grand centralisme et dirigisme? Ou bien une plus grande autonomie des petites sous-structures, en un fonctionnement plus modulaire? Si on veut ménager écologie et démocratie, la deuxième solution paraît plus adaptée. Le modèle de l'arbre permet d'allier la taille humaine d'une structure sociale, le rameau, avec une stucture sociale plus grande qui serait une nation, le tronc de l'arbre. Un rameau c'est petit, mais c'est relié au rameau le plus proche, et de proche en proche, à travers les branches, c'est le tronc qui assure la liaison entre tous les rameaux, de manière solide, avec la terre, source de toute vie.

19 juin 2020 21:30
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Sécurité sociale de l'alimentation
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L'alimentation comme l'air que nous respirons et l'eau que nous buvons est indispensable à notre existence. Et pourtant, la plupart des aliments que nous ingérons sont littéralement toxiques pour notre santé et notre environnement : agriculture intensive et productiviste, agriculteurs maintenus dans la misère, pesticides, déforestation, industrie agro-alimentaire, lobbying de la fnsea, libre-échange .... Pour construire une alimentation saine, bio et locale, une sécurité sociale de l'alimentation telle que proposée par le réseau salariat et les ingénieurs sans frontières est à envisager sérieusement comme une alternative juste, sociale et écologique au système capitaliste actuel.

19 juin 2020 21:38
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La sécurité en commun (Défense)
Contribution
Les dépenses militaires sont probablement, et malheureusement, amenées à croître fortement dans les années à venir. En effet, entre désengagement américain, accroissement des tensions internes, l'OTAN n'est plus une réponse aux besoins de sécurité, si tant est qu'elle l'ait jamais été, alors que les risques d'embrasement à nos frontières s'accroissent (nous payons d'ailleurs là le prix de nos aventures sarkozyennes!). C'est un risque, mais également une opportunité, car les autres membres de l'UE sont soumis aux mêmes besoins sécuritaires, et ne peuvent plus sous-traiter leur Défense à l'Alliance. L'émergence d'une politique européenne de défense doit être de nature à permettre de répondre aux besoins de défense du continent européen, sans renier les fondements sociaux de nos États. Éviter la mise sous tension de nos budgets sociaux par les budgets militaires, c'est aussi une manière de préserver notre modèle social.

19 juin 2020 21:55
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Incitation au changement des modes de consommation
Contribution
Il faut profiter de la remise en cause du modèle de société occasionnée par la crise du coronavirus pour inciter fortement les Français à changer de modes de consommation. Ne pas attendre que le "retour à la normale" rétablisse l'automatisme consumériste des achats compulsifs de produits nocifs pour la santé et l'environnement. Insister sur l'achat bio et l'achat local pour contribuer systématiquement à une production vertueuse. Déployer un discours ferme contre l'achat uniquement motivé par la satisfactions de besoins individuels futiles : discréditer les achats de produits faits de plastiques, les produits non indispensables provenant de l'autre côté de la planète....à moins qu'ils ne participent à une dynamique de commerce équitable.

19 juin 2020 21:57
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Plus incisif
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Etre davantage à l’attaque, être à la hauteur de l'attaque du gouvernement. Quand le gouvernement nous fait un placage ventral, nous devons crier aussi fort que possible.

19 juin 2020 22:44
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AAH
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Remettre en avant la proposition sur le texte de L'AAH afin de ne plus prendre en compte le revenu du conjoint, en effet le texte qui devait être examiné au sénat n'a pu être mis en oeuvre a cause de la crise sanitaire

19 juin 2020 22:59
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Faire de la formation continue une chance
Contribution
La formation continue c'est le moyen pour faire grandir la 1ère richesse de notre pays: les compétences des femmes et des hommes. Or l'accès est complexe et bcp n'y ont pas eu recours. Il faut créer des congés formation qui seraient posés comme des congés annuels. Créons 1 semaine de congés formation payés par an. Chacun pourrait les poser et suivre la formation de son choix. Parallèlement, nous créons des formations basiques gratuites d'une semaine : pass bureautique, pass maîtrise de la langue fr, pass numérique, pass expression oral, etc. La formation doit appartenir aux actifs qui doivent s'en saisir pleinement.

19 juin 2020 23:01
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Répartir équitablement la richesse + décroissance.
Contribution
Revoir tous les modes de contribution au fonctionnement collectif pour que le poids de l'impôt cesse de peser uniquement sur les salariés : -rétablir l'isf -restaurer un nombre de tranches fiscales étendu - restaurer le niveau de l'impôt sur les bénéfices - suppression de la flat tax - suppression des impôts indirects (tva.et tic) débuter en revoyant leur modulation, plus faibles ou nuls sur les produits essentiels et les augmenter davantage sur les produits de luxe (50 % à 75 %) Réorienter les aides sociales sur les plus fragiles en supprimant les aides cir et cice qui ne servent qu'à distribuer des dividendes tandis que les milliards redistribués à la population amélioreraient le niveau de vie ainsi qu'un nombre important d'indicateurs. Lutter fermement contre l'évasion et la fraude fiscale (60 à 80 milliards d'euros à récupérer). Interdiction de toutes les formes de publicité, en débutant par celles incitant aux consommations anti écologiques. Inciter les entreprises à réorienter les dépenses de marketing, publicité, vers des études visant le développement durable de leur activité. Encourager la relocalisation en aidant les entreprises produisant en France (éxonérations fiscales et sociales). Instaurer un droit de douane social pour en finir avec les biens produits par des enfants ou dans des conditions indignes. Créer une vraie filière de l'économie circulaire (réparation, recyclage) avec aides incitatives.

19 juin 2020 23:01
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Stop à toutes les injustices
Contribution
La crise du COVID19 a mis à jour les inégalités,les différences sociales,les injustices de traitement face à une crise importante dans ce pays. La première injustice à été la mise en place du confinement qui a exacerbé la promiscuité déjà difficile à vivre dans certains couples.Du coup les violences faîtes aux femmes ont explosées. Ensuite injustice face aux soins pour plusieurs raisons: que l'on habite en ville ou que l'on habite en campagne l'accès aux hôpitaux n'est pas du tout le même voir dans certains endroits de ce pays quasiment inaccessible, injustice face aux soins pour raison financière ,là aussi l'inégalité à été criante malgré le dévouement sans faille des soignants. Et une des plus grande injustice pendant cette épidémie a été la non transparence aveuglante de ce gouvernement pour gérer tout ça! De plus il a mis en danger la vie de milliers que dis je de dizaine de milliers de citoyens pour ne pas avoir voulu tester,isoler et traiter avec le seul et unique traitement qui était efficace :HYDROXICHLOROQUINE ET AZYTRHOMYCINE à prescrire en début de maladie. Injustice également aux travail ! Inégalité de traitement que l'on soit un homme ou une femme : A travail égal, salaire égal Injustice face aux droits : Blancs, Blacks, Beurs tous égaux Nous sommes jusqu'à preuve du contraire dans un pays démocratique et républicain! Depuis quelques années j'en doute fortement quand je vois ce qu'il se passe partout dans l'héxagone. Violences policières non punies, montées en puissances des partis et mouvances fasciste jusqu'au sein du gouvernement voir à la tête de l'état!! Nous ,insoumis devons tout mettre en oeuvre pour que cela ne soit plus la France,notre France pays des droits de l'homme et du citoyen!! Nous sommes un peuple mixe depuis des millénaires si l'on se réfère à l'histoire .De plus notre territoire est frontalier avec une multitude de pays qui font que de facto nous sommes forcément mixes.Chacun de nous à une origine hors des nos frontières.D'ailleurs le terme de "race" devrait à mes yeux être banni du vocabulaire pour désigner un être humain! Voir même pour désigner un être vivants!!! Voilà ce que l'on pourrait rajouter dans le programme de l'AEC de notre beau mouvement dont je suis fier!!! VIVE LA FRANCE INSOUMISE, VIVE LA 6EME REPUBLIQUE!!!

19 juin 2020 23:08
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Quelques pistes et propositions
Contribution
- Parler davantage de la condition animal et proposer davantage également à ce sujet. Amener les citoyens en sommes à changer partiellement ou intégralement leurs mode de consommation - Nationalisation des industries et banques - Proportionnelle à 100% - Le racisme devenant de plus en plus problématique, il faut intensifier la lutte contre celui-ci. Notamment dissoudre les milices fascistes comme Génération Identitaire ou le GUD. Lutter contre l'extrême-droite en général. - Repenser la démocratie à la base. S'inspirer des expérimentations de la Commune de Paris en 1871 ou de l'Espagne de 1936. - Faire de la Santé, de l'Éducation, de la Culture et de la Sécurité des missions prioritaires. - Démanteler l'actuel institution policière pour la réformer et créer une véritable police républicaine de proximité et humaniste. Dissoudre la BAC. Remplacer l'IGPN par un organisme indépendant de l'État et du privé. - Permettre la réquisition par l'État, les collectivités, associations, individus de batiments abandonnés pour y loger des gens ou mener des projets associatifs et/ou culturels - Réfléchir à la possibilité de mettre en place un revenu universel ou alors repenser la société autour "d'un salaire à vie" (voir les travaux de Bernard Friot)

19 juin 2020 23:10
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L’Avenir en commun est le seul programme qui réponde aux défis actuels
Contribution
Nous n’avons plus de temps à perdre. L’Avenir en commun est une boussole qui indique la direction à prendre pour réussir à mettre en œuvre les politiques capables d’enrayer les crises écologiques, climatiques et géopolitiques. Seul le souci de l’intérêt général peut y parvenir. Il n’y aura pas de jours heureux sans justice et sans partage dans le respect des ressources de la planète. La dérive autoritaire et autocratique (monarchique) de la présidence française actuelle est très inquiétante, et les violences policières sont insupportables. La France a besoin de se refonder démocratiquement. Les citoyen-ne-s doivent pouvoir décider de leur avenir en élaborant en commun une nouvelle Constitution qui fera d’eux, d’elles, le véritable souverain.

19 juin 2020 23:24
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Institution
Contribution
Bonjour Ma contribution porte sur les institutions. 1) Il faut passer à la troisième République. 2) Suppression du SÉNAT. Pour relancer l'économie au lieu de s'endetter. Cet argent pourra financer les hôpitaux et aider aux développement de l'apprentissage pour les jeunes et les adultes. ( Contrat de pro, d'apprentissage, de conversion etc....) 3) La nationalisation des banques et les autoroutes de France. 4) la parité totale à l'assemblée nationale et introduction du RIC. 5) l'engagement du futur président à ne plus soutenir les dictateurs africains en place permettant une vraie alternance politique. Permettre aux pays africain de se développer avec leurs et ressources naturelles. Pour éviter que les jeunes africaines et africains risquent leurs vies en traversant la méditerranée. 6) Etablir DONC UNE VRAIE COOPÉRATION GAGNANT- GAGNANT AVEC L'AFRIQUE en abolissant Le FCFA qui tue l'économie de l'Afrique de l'ouest. Merci

19 juin 2020 23:24
Titre
Institution
Contribution
Bonjour Ma contribution porte sur les institutions. 1) Il faut passer à la troisième République. 2) Suppression du SÉNAT. Pour relancer l'économie au lieu de s'endetter. Cet argent pourra financer les hôpitaux et aider aux développement de l'apprentissage pour les jeunes et les adultes. ( Contrat de pro, d'apprentissage, de conversion etc....) 3) La nationalisation des banques et les autoroutes de France. 4) la parité totale à l'assemblée nationale et introduction du RIC. 5) l'engagement du futur président à ne plus soutenir les dictateurs africains en place permettant une vraie alternance politique. Permettre aux pays africain de se développer avec leurs et ressources naturelles. Pour éviter que les jeunes africaines et africains risquent leurs vies en traversant la méditerranée. 6) Etablir DONC UNE VRAIE COOPÉRATION GAGNANT- GAGNANT AVEC L'AFRIQUE en abolissant Le FCFA qui tue l'économie de l'Afrique de l'ouest. Merci

19 juin 2020 23:42
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Unité
Contribution
Il est impératif d'anticiper dès maintenant la nécessité pour les prochaines échéances électorales d'un front uni dans lequel l'ensemble des citoyen-nes qui se considèrent à gauche puissent se retrouver. C'est une condition pour gagner, pas la seule d'accord, mais une condition quand même.

19 juin 2020 23:48
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Pour un autre avenir ...
Contribution
Rééquilibrer, ajuster, le rapport intérêt personnel/intérêt général dans notre économie reste à mes yeux une solution qui ouvrirait des possibilités à peine abordées ci dessous ...et représenterait un VRAI changement En France, le principal problème actuel, économique et politique, concerne le financement des besoins des citoyens (des « services aux publics »). Quelles que soient les grilles d’analyse des gouvernements successifs, les différentes politiques mises en œuvre ces dernières décennies ont échoué à apporter des solutions pérennes à ce problème et à accompagner et garantir un fonctionnement durablement équilibré de l’économie. Or, de nombreux indicateurs, sociaux, écologiques, budgétaires, prouvent qu’il n’est plus possible d’éluder ce problème, afin de préparer l’avenir de la/des prochaines générations. « Tout le monde sait qu’il y a des choses à changer, mais on ne sait pas comment, et on n’arrive pas à changer le ‘logiciel général’. » Les dépenses publiques ont augmenté, car les besoins ont augmenté : la population française est passée de 55 millions de personnes à près de 67 millions entre le début des années 1980 et la fin des années 2010 (soit une croissance de plus de 20%) ; les très profondes transformations technologiques continuent à se répercuter sur l’économie et sur de nombreux emplois. « Pas assez » de recettes… ou diminution de « charges » : la confrontation ne date pas d’aujourd’hui. Or, l’insuffisance sur la longue durée du financement des besoins des citoyens a pesé sur la qualité des services publics, et ses effets sont visibles dans tous les domaines ( santé, éducation, sécurité…), qui ont pâti d’investissements structurellement insuffisants. Autres dimensions structurelles des dernières décennies : le maintien d’un taux de chômage élevé, qui se traduit, sur le plan des finances publiques, par une pression sur le niveau des recettes fiscales et des revenus socialisés ; les déséquilibres et inégalités croissants dans la répartition des richesses matérielles produites, les plus riches en concentrant une part croissante, tandis qu’un nombre de plus en plus élevé des citoyens voit sa part stagner, voire diminuer ; un déséquilibre croissant également dans le ratio entre richesse matérielle produite et investissements, au détriment de ces derniers et, par contrecoup, au détriment de la création d’activités et d’emplois. Proposition D’où la proposition : créer une « fondation », à côté des « trois » pôles que sont l’Etat/services publics, l’économie privée et les citoyens, entre lesquels tout se joue jusqu’à aujourd’hui « gagnant/perdant ». Il faut inventer un quatrième pôle, générateur d’équilibre et de croissance. • A quoi sert cette fondation ? Elle doit répondre à des besoins d’intérêt général, en premier lieu la création d’emplois. La création de ce pôle nécessiterait un investissement conséquent, de plusieurs milliards sur une période de 5 ans, pour remplir pleinement son rôle, et gagner à terme sa pleine autonomie. Au-delà de cette période elle sera en mesure d’investir, sans être financée, ni par l’Etat (fiscalité) ni par les contribuables et les entreprises, mais par le profit. L’économie française génère beaucoup de richesses (plus de 2 300 milliards d’euros de valeur ajoutée créée chaque année), c’est pourquoi il faut rééquilibrer la répartition de cette valeur ajoutée entre « intérêts privés » et « intérêt général ». Il faut garder à l’esprit le contre-exemple du CICE, ce crédit d’impôt qui représentait une dépense annuelle de 20 milliards d’euros, qui a servi les objectifs des entreprises et non ceux de l’Etat et l’intérêt général. La gouvernance de cette fondation ne serait ni seulement politique, ni seulement entre les mains de l’Etat, mais très large (tous les acteurs de l’économie, y compris privée ; des représentants de l’ensemble des groupes/constituants ; avec un fonctionnement véritablement démocratique). Cette fondation aurait un but lucratif, c’est-à-dire aurait pour objectif de dégager des profits, destinés à financer ses investissements en faveur de l’intérêt général. • Quel serait le modèle de développement ? A l’échelle des territoires, il faut partir du constat que le fonctionnement de l’économie capitaliste a, ces dernières décennies, fortement contribué à la polarisation/concentration sur certains territoires, en en laissant d’autres exsangues. L’objectif de cette fondation serait justement d’inverser ce processus. Cet engagement structurel dans certains territoires permettrait en autres : d’y attirer des habitants ; d’y créer des conditions favorables à l’investissement des entreprises ; de contribuer à la baisse du coût immobilier dans les zones concentrées ( qui se traduirait par un gain de pouvoir d’achat « non négligeable ») ; de favoriser le rétablissement des « services aux publics » ; etc… A une échelle plus globale, serait attendu la création d’un cercle vertueux de croissance au bénéfice de tous (y compris aux entreprises « privées ») : les investissements apporteraient un surcroît de croissance, d’où des créations d’emplois ; une baisse du chômage et des recettes budgétaires en hausse, avec la perspective, entre autre, de dégager une capacité budgétaire pour faire face aux enjeux sociaux / sociétaux et environnementaux. Cette fondation pourrait agir également en protection des emplois, notamment industriels, par un mécanisme de compensation entre activités bénéficiaires et déficitaires « assumée » évitant ainsi les délocalisations. Compte tenu des perspectives technologiques, cette fondation permettrait de développer l’emploi « social ». Elle serait aussi un laboratoire pour expérimenter de nouveaux modèles sociaux (par exemple, la semaine de 32h). En matière d’immigration, il faut se rendre compte qu’il s’agit d’une source de richesses ; or, ce n’est pas suffisamment le cas aujourd’hui, trop de personnes étrangères sont tenues à l’écart de l’emploi. Les profits de cette fondation pourraient également être employés pour autre chose que, directement, de l’activité : par exemple, dans de la formation, et, plus généralement, dans tout ce qui peut contribuer à insérer davantage les personnes étrangères dans la société et l’économie (par l’éducation, le logement, etc.). Un changement de politique qui, associé au développement de la France, participerait à faire évoluer la situation que l’on connait aujourd’hui avec la montée de l’extrême droite. Les possibilités qu’offrirait ce « changement » sont nombreux … • Quelles limites à poser ? quels objectifs à plus long terme ? Une limite possible à fixer : la taille des ressources de cette fondation, qui n’excéderait pas un % du PIB. Il s’agirait, dans tous les cas, de piloter cette fondation de manière à évaluer le moment où elle aurait atteint son objectif. De nouvelles missions pouvant lui être attribuée par la suite . Cette proposition est économiquement est crédible, réaliste, et politiquement rassembleuse …. Les français sont en attente d’un VRAI changement

19 juin 2020 23:54
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portes paroles
Contribution
La Fi ne devrait pas être representée que par des élus nationaux où portes paroles nationaux. Pourquoi ne pas penser à des portes paroles "citoyens" non encartés dans un autre parti politique ( ensemble, pg , grs...) pour les grandes villes en France? Des portes paroles mixtes representatifs des luttes du térritoire local.

20 juin 2020 00:05
Titre
france télécomisation de l'enseignement
Contribution
plus que tout autre secteur - oui, oui, même le secteur médical - le secteur de l'éducation a subi une offensive inouïe (littéralement: jamais entendue auparavant) de la part de la macronie. le monde enseignant a besoin, de toute urgence, que nous, les insoumis, lui venions en aide. bien entendu, il fallait résister sur tant de fronts, mais il faut bien reconnaître qu'en cette année de contre-réforme du lycée, contre-réforme des retraites, transition (ô combien) brutale vers l'enseignement à distance, insultes ricanantes des hyènes médiatiques, la F.I. a très peu, pour ne pas dire jamais, été aux côtés d'une corporation victime d'une véritable "stratégie du choc". il faut à tout prix: - réaffirmer notre attachement à l'instruction telle que condorcet, kant, hegel, saint-fargeau, alain, … l'ont théorisée - clamer haut et fort que oui, donner à notre jeunesse une instruction digne de ce nom est une question de moyens, chiffrer ces moyens - revendiquer un combat pour une "écologie de l'esprit"; dans le monde néo libéral de l'éducation nationale française, ce sont des pans entiers du savoir humain que l'on brûle/asphyxie: une philosophie sans marx et freud, une histoire sans ambroise croizat, des étudiants d'anglais qui n'ont pas lu shakespeare, une économie sans protectionnisme, etc … nous devons clamer notre attachement à la transmission des savoirs, au noble mot de discipline - comment prétendre éveiller les consciences sans assumer un rôle de protecteur/conservateur/transmetteur des savoirs consacrés l'année scolaire 2020-2021 sera cruciale: soit nous nous tenons résolument au côté du monde enseignant dès que surgiront à nouveau des mouvements de résistance à la contre-réforme du lycée, notamment, soit nous perdrons définitivement l'adhésion d'une profession ayant (malheureusement) contribué à l'élection de macron en 2017, mais aujourd'hui ulcérée par le mépris, la violence ("digne" des heures les plus sombres de "france télécom", d'où le titre), dont elle a été victime depuis trois ans.

20 juin 2020 00:24
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Label citoyen
Contribution
Il existe de nombreux labels, notamment dans le domaine alimentaire. Ceux-ci, sont souvent intéressants, voire justifiés. Malheureusement, la plupart du temps, ils ne servent qu'à "faciliter" le mode de commercialisation des produits en question. Leurs normes, changent régulièrement de manière un peu nébuleuse et pas toujours dans le sens premier de leur existence, c'est à dire le bien être des êtres vivants intervenants tout au long de la chaine y compris les êtres vivants qui y meurent, les plantes, les milieux d'origine des ressources nécessaires pour arriver à un produit consommable. La formule "Du producteur au consommateur", bien que noble est un peu réductrice, car elle occulte tous les autres éléments de la chaine et au premier chef le produit lui-même. Sans oublié que le monde orwellien que nous vivons reformulerai "Du prestidigitateur au spectateur" et qu'il faudrait comprendre "Du distributeur au consumérisé". Le "BIO" qui nous est proposé aujourd'hui procède autant de l'éthique que de l'esprit sarcastique du marketing. Ainsi, il serait souhaitable, d'instaurer un label, non soumis à cotisation, qui consisterai à visiter le responsable de production et faire état de tous les critères qui définissent sa manière de faire, concernant le produit, mais aussi, concernant le salariat éventuel et surtout de déterminé si le cercle vertueux de la règle verte est efficient dans son itinéraire. (pardon pour le terme qui est un peu connoté maraichage). Sachant que cette évaluation est applicable à tout type d'activité. Les éléments ainsi récoltés seraient disponibles sur un site par exemple, sous forme de reportages vidéo, écrits, documents annexes tels que compte d'exploitation ou tout autre selon le désir du producteur. Enfin, un comité idoine, analyserai les éléments et attribuerai ou pas le label en question. Celui-ci, serai remis en cause par une visite semestrielle par une équipe différente à chaque fois. Il va s'en dire que les idoines du comité sont renouvelés tous les six mois également. Voilà, un projet personnel que je construis sur le papier depuis quelques temps car je voulais expérimenter la complexité de la règle verte dans le domaine de l'agriculture notamment. Mais en fait à mesure que j'y réfléchis, je m'aperçoit que l'application est universelle, tout est dans la confiance dans le recueil des informations permettant l'évaluation avec sa dimension humaine qui est exclue des systèmes actuels, me semble t-il. L'autre objectif, c'est la pédagogie que cela procure, lorsque le "consommateur" consulte sur le site les informations concernant un producteur donné et qu'un producteur donné vient se comparer. Le concept est là, en gestation, je m'y attèle cycliquement et bien évidemment, la partie technique et applicative est à peaufiner sur bien des plans. Je me dis que parmi toute cette matière grise insoumise, bien des projets, voire réalisations similaires existent, et je suis prêt a y participer (cycliquement bien sur)

20 juin 2020 02:42
Titre
La relance économique et solidaire française
Contribution
Bonjour, merci pour vos actions pour commencer Rachat de terrain par les communes, départements et par l'état pour proposer contre rémunération et avantages en nature au demandeur d'emploi et au gens dans la nécessité de produire fruits, légumes biologiques accompagnés par des professionnels du secteur, payé par la revente en marché locaux, coût nul.(en cités ce serais extraordinaire) Taxe pour les entreprises françaises delocalisés . Détaxe pour la production maraichaire française. Diminution de 50% des salaires gouvernementaux. Régularisation des travailleurs sans papiers. Fin de la sécurité sociale et le droit à la santé pour tous. Injection de moyen massifs pour la santee(ephad, mas, hôpitaux...) Destruction de la dette(comme m. Melenchon le dis si bien) Fin des parachutes et avantages des patrons. Retour de l'isf. Et taxe sur les grandes fortune et leurs bénéfices (5% c'est déjà bysance) Revenu universel. Réaménagement de locaux abandonné par les professionnels du bâtiment pour les sans abris, les oubliés... Distribution de nourriture par l'état aux plus démunis, personne ne doit être oublié. Reinjection de moyen pour l'éducation. Je vous embrasse. M. Folco Un insoumis