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Contributions sur le texte « Plus que jamais, l’avenir en commun ! »

Réponses 81 — 100 sur 238


20 juin 2020 18:46
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avenir en commun bien sûr, mais pourquoi le vote obligatoire
Contribution
expliquer les intérêts du vote obligatoire. comme obliger les élus à s’intéresser aux citoyens qui n'ont pas l'habitude de voter et qui sont dans des quartiers délaissés

20 juin 2020 18:49
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courage
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Bonjour Pardon de mes mots qui sont plus dans les attentes et les "continuez "… Pouvez vous faire une liste de tout ce que Macron a fait de mal depuis qu’il est aux pouvoirs, avec les conséquences ? Additionner au fur et à mesure, tant en lois qu’en faits, les conséquences pour le malheur de tous les gens. Pouvez vous rappeler systématiquement ds toutes interventions médias le programme « l ‘avenir en commun » , référence pour les médias qui l’ont pas lu : récitez leur ? Continuez à terminer vos phrases quend vous êtes interrompus: eux savent la suite ‘ peut-être ) mais pas forcément les téléspectateurs Sur le site, un BREF résumé de son contenu / matière, avec lien sur les explications pour celles et ceux qui veulent des détails ds d’autres pages web Je n’ai pas de portable, comme nombre de personnes âgées que j’aide informatiquement … N’oubliez pas les discussion-forums sur site . Une boîte à idées ouverte à tous ( avec modération ! ) serait la bienvenue … Bravo pour mettre toutes interventions médias sur YouTube ; les pouces : malheureusement chacune de vos interventions est reprise à divers endroits, ce qui fait baisser, je crois, l’importance des vues et pouces … Bravo pour toutes vos newsletter car aide à comprendre ce qui se passe : Merciii Manon, J.Luc et tous nos député(e)s ! Je comprends pas que les ministres et macron sont toujours à se balader à droite à gauche … Pourquoi ? Combien cela coûte-t-il , y compris les gens dérangés à cause de lui : il a pas autre chose à faire à son bureau que se gargariser devant les caméras ? Super quand J.L. Mélenchon fait une vidéos de + de 2 heures, mais peut-être une intro pour annoncer les thèmes abordés, car quand, comme moi, on regarde tout, ben on retrouve les mêmes avis qu’ailleurs ( heureusement )… Mais c’est bien aussi, hein ! Merci, immense merci à tous de nous proposer votre, notre avenir politique. L’espoir, l’envie d’autre chose … Les gens croient que tous les politiques sont les mêmes, et ainsi ils ne votent plus // Je leur dis sans cesse : «  vous avez essayé ? … Vous avez vu ce qu’ils font, … Vous avez lu le programme ? Vous pouvez pas juger tant qu’ils ne sont pas aux responsabilités … Confiance ! Allez, continuez avec courage te déterminé : on les aura !!! CRDLT

20 juin 2020 18:51
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Mettre en place une vraie industrie de transition écologique
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Mon idée part de deux constats: - La crise du co-vid a montrer qu'il était fondamentale que nous réindustrialisions notre pays afin de garantir l'apport de matériel indispensable en toute situation. - Le bilan carbone des importations est beaucoup trop élevé. Installer des usines éco-responsable de transformation de matière première permettrait de le réduire drastiquement. Par exemple, et c'est l'aspect concret de ma proposition, j'ai pu constater qu'un grand nombre de vieux bâtiments public à Paris (par exemple la Sorbonne) n'avait pas de double vitrage, et représentaient donc de véritables gouffres à chauffage (mauvais d'un point de vue écologique, et économique). Il est nécessaire, au vue de l'urgence climatique, de procéder à ces travaux d'isolations et pour cela, il serait intéressant de favoriser l'émergence de grandes industries de double vitrage, pouvant aussi bien passé par le privé que le public.

20 juin 2020 19:09
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Limité les panneaux publicitaires autre qu'associatif.
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Le co-vid a montrer qu'en réduisant la consommation nous arrivions a limiter nos émissions de CO² à l'échelle planétaire, et que nous avions gagné 3 semaines sur le jour de la consommation des ressources renouvelables. Pour se faire, il faut agir sur les consommateurs et leur besoin de consommation. Hors, ce besoin est suscité en partie par la publicité qu'il faudrait par conséquent limitée, surtout qu'il y en a partout, dans la moindre des choses que nous faisons. Et sans trop poussé, je dirais que le besoin (voir la consommation) n'entraine pas le bonheur, surtout quand il est inassouvissable. Une mesure simple, et relativement peu ambitieuse, serait de limiter les panneaux publicitaires en ville, à minima ceux utilisant de l'énergie tels que les énormes écrans. Il doit y avoir des oppositions à cette idée. Par exemple, en dehors de celui de la croissance à tout prix, il y a celui du financement des villes qui se pose.

20 juin 2020 19:17
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europe le referendum
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le mouvement des Gilets Jaunes a mis en avant une chose fondamentale : remise en cause de la démocratie participative celle ci est mis a mal en partie et surtout a cause des traité européen Pour se démarquer de celles et ceux qui veulent le FREXIT il importe que RESTER ou NON dans cette UE est une question que seul le peuple français peut et doit prendre La France Insoumise doit OSER PROPOSER aux français de faire ce choix Un plan A : revoir corriger modifier etc les traité actuels donc celui qui régit la BCE un plan B qui viendra mettre du poids et aider au plan A le plan B ne peut etre bidouille et faire ce qu'on veut chez nous car cette situation ne serait pas comprise La france Insoumise doit etre porteur dun message fort en cas d accession aux responsabilité CONSULTER les FRANCAIS par référendum / UE

20 juin 2020 19:25
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Plafonner l'héritage
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Pour que chacun puisse s'épanouir harmonieusement, il convient de créer les conditions de cette harmonie. Les trop grandes disparités sociales de départ bloquent toute possibilité de compréhension mutuelle. En plafonnant l'héritage, et en utilisant le surplus dans la redistribution (fourniture de logements décents, d'un revenu lui permettant de se nourrir, se vêtir, se cultiver pour que chacun puisse avoir le minimum permettant de se projeter dans sa vie), on est tous amenés à exercer une activité. Plus de rentiers déconnectés des réalités dont l'unique objectif est de faire perdurer ses privilèges de génération en génération. Qui peut entendre que sur la fameuse "compétition nécessaire de chacun contre chacun", que certains démarrent leur 100m en ayant 95m d'avance sur les autres. Ils veulent cette société de compétition ? Aors la ligne de départ doit être la même pour tous... Cela permettrait de recréer un lien social totalement perverti.

20 juin 2020 20:41
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CONTROLE
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Qu'il n'existe plus AUCUNE possibilité pour un individu ou un groupe d'individus de légiférer sans que la loi ne soit accepter par referendum. La législation est assez touffu comme cela. Nous devons retrouver notre capacité monétaire, c'est à dire sortir de l'Europe et dénoncer cette soit disant DETTE. Ce qui est appelé MARCHE doit être bani de notre sol. La richesse est créée par la création d'un bien physique, intellectuel ou "visible" ...hors création virtuelle.

20 juin 2020 20:47
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Moyens démocratiques : premier et dernier mot, déroulement des votations, légitimité d'électeur
Contribution
En lisant les derniers événements sur le sujet (dont le RIC), j'apporte mon humble contribution en proposant des mécanismes qui existent déjà dans d'autres pays, comme en Suisse, et qui pourraient améliorer la force démocratique dont notre chère France a tant besoin. 1) Deux façons de concevoir la votation. En effet, le référendum donne au peuple le dernier mot, mais l'initiative populaire lui donne le premier mot. En Suisse, il existe l'initiative populaire seulement au niveau constitutionnel, tandis que le référendum porte tant sur la loi que sur une modification de la Constitution. Pourquoi, dès lors, ne pas consacrer au peuple la possibilité d'imposer de lui-même des lois, ne serait-ce que dans l'esprit et avec des lignes directrices, donnant donc à leurs élus l'obligation de poser le sujet sur la table ? Le référendum permettrait quant à lui que le peuple oppose son veto. Il serait même envisageable de modifier la Constitution sous ses aspects moins "sacralisés". (NB : pour l'initiative, un quota de 100'000 personnes pour 8 millions d'habitants équivaut en France à 850'000 personnes pour 68 millions d'habitants. Quant au référendum suisse, il exige... 50'000 signatures.) 2) La façon de voter, que ce soit par référendum ou pour les élections, est très archaïque de mon point de vue. C'est long, administrativement lourd et sans garantie que tout le monde puisse voter. Un vote par correspondance –courrier seulement–, accompagné d'une brochure explicative sur les candidats ou sur les sujets de votation (avec arguments opposés), soulagerait bon nombre de citoyens qui ne peuvent se déplacer aussi aisément que d'autres et réduirait la surcharge des bureaux de vote. La solution actuelle pourrait également demeurer, bien évidemment, les deux solutions pouvant se compléter à merveille si elles sont bien articulées. À cet égard, je pense également que le scrutin devrait être dépouillé par des citoyens tirés au sort et/ou bénévoles, et non par du personnel affilié à des autorités étatiques. 3) À mon sens, si le droit de vote est évidemment essentiel pour les citoyens français, les étrangers résidents en France ne devraient pas pour autant être mis de côté. Sur certains points de politique, ils sont tout aussi légitimes à participer à la prise de décision. Ils paient leurs impôts, leurs cotisations sociales et autres tout autant que les français, et participent également à la vie sociale du pays. Leur aménager un droit de vote sur certains sujets ainsi que sur des plans plus ou moins limités (au niveau communal par exemple) enrichirait la vie politique et les impliquerait plus dans la société. J'y vois là un cercle vertueux.

20 juin 2020 20:50
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Ecoutons la nature quand elle nous parle ...
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Le Covid 19 nous a donné un premier avertissement universel : Il faut arrêter de se croire tout puissants et de penser que la nature a été créée pour assouvir nos seuls besoins ! Si je suis Insoumise c'est que justement la FI est à mes yeux le seul mouvement politique qui se démarque sur ce sujet qui en mon sens est essentiel. Je me souviens encore des propos de JLM lorsqu'il a expliqué pourquoi le terme "en commun" avait été choisi en nous disant que l'Homme n'était pas seul sur la planète et qu'il fallait aussi prendre en compte ceux qui la partagent avec nous c'est à dire toute la biodiversité, les végétaux et les animaux. Depuis trop longtemps un petit nombre d'entre nous se sont crus tout permis et ont dévasté une trop grande partie du monde, détruisant ainsi des milliards d'entre eux qui ne pouvant se défendre contre ce que beaucoup d'entre nous appelaient le progrès se sont pour le coup "confinés" dans des espaces de plus en plus petits. Ces derniers mois le "confinement" a "changé de camps" et l'on a pu voir (certains comme moi avec un plaisir non dissimulé) ces animaux revenir à la lumière et ... revivre ! Le moment est donc venu de revenir "à la charge" sur cette partie de notre programme : privilégier la protéine végétale (et à ce propos je rejoins le ou la camarade qui disait que ce serait bien de supprimer la TVA sur l'alimentation végane), inciter nos concitoyens à végétaliser leurs assiettes, se battre contre l'industrie de la viande, contre les transports d'animaux, au niveau européen ne pas lâcher en ce qui concerne leurs trafics (et je le dis en sachant que nos parlementaires font un véritable travail de fond sur cette question). Enfin je pense comme le camarade qui a contribué à ce texte avant moi qu'il faudrait être plus clair sur notre positionnement concernant la corrida en ce prononçant clairement contre ces pratiques barbares car même si nous disons que nous voulons "éradiquer la maltraitance animale" beaucoup de nos amis animalistes nous ont reprochés de ne pas avoir été assez clairs sur ce sujet précis. (Sophie Dour, Végane Insoumise).

20 juin 2020 21:09
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Le nucléaire nécessaire pour la transition
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En gardant l'idée de viser le 100% d'énergie renouvelable et avec l'impératif écologique de premier ordre de décarboner nos énergies, l'énergie nucléaire doit être envisagée dans le mix énergétique en tant qu'énergie de transition. Pour une fois, hélas, la posture de la FI concernant le nucléaire semble irrationnelle, tout comme la peur du grand public pour cette énergie. Ce rejet dogmatique du nucléaire (comme le fait Greenpeace) ne sert pas les intentions de la FI et de l'avenir en commun qui sont de fédérer le peuple sur un programme à la fois humaniste et construit intelligemment, avec des arguments solides, de manière a être inattaquable. Une mesure prenant en compte le nucléaire dans la transition, étayée par le consensus scientifique sur la question, est défendable autant par son intention (décarboner l'énergie pour éviter la catastrophe climatique) que par sa solution (recourir au nucléaire qui, des études le prouvent, est notre meilleure solution actuellement pour sortir rapidement des énergies carbonées). De plus, il semble nécessaire de dédramatiser la peur du nucléaire en vulgarisant le plus possible le sujet car il s'avère que les dangers (risques d'explosion, traitement des déchets etc) sont en fait bien moindres que ce qu'imagine la plupart des gens. Il serait donc intéressant de reconsidérer la place de l'énergie nucléaire dans le programme de l'avenir en commun. Pour source, voir les vidéos du youtubeur vulgarisateur Le Réveilleur qui a consacré plusieurs épisodes à ce sujet et dont les sources sont toujours disponibles.

20 juin 2020 21:38
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résolution sociale à la crise de l'emploi
Contribution
Face à la crise économique majeur qui risque d'arriver après celle de la covid-19, il est urgent de préserver l'emploi des salarié•es les plus précaires. Pour cela un ensemble de quelques propositions : - maintient du chômage partiel en complément salarial pour les entreprises à activité diminuée afin de maintenir le pouvoir d'achat des salarié•es. - interdiction temporaire de tous les licenciements économiques à toutes les entreprises. - loi obligeant l'Agence des participations de l'État à la nationalisation intégrale de toutes les entreprises de plus de 100 salarié•es en procédure de faillite. - octroi à chaque personne d'un chèques-vacances de 200 € dans le but de relancer l'économie du tourisme très impactée. Tous ces mesures seront financées par le rétablissement de l'ISF, par la création d'une contribution exceptionnelle de 10 % sur les bénéfice des banques et la création d'une cotisation sociale sur la consommation.

20 juin 2020 22:46
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Plein emploi plutôt que salaire universel
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Je ne suis pas du tout certain que le salaire universel, très généralement soutenu par les "penseurs" libéraux, mais aussi par certain d'entre nous, pour des raisons altruistes bien sûr, soit une voie si désirable. Il faudrait commencer par prouver que le travail (pas le télétravail à la maison !), n'est pas une composante importante de ce que l'on nomme l'insertion sociale, le vivre ensemble. Si cette analyse n'est pas fausse, il faut nous battre pour permettre à tous d'avoir un emploi, plutôt que de baisser les bras avec un salaire universel qui instauré, deviendrait bien vite un stigmatiseur social. Remarque: Le salaire universel n'a rien à voir avec le salaire à vie de B. Friot, qui lui sous-entend une véritable révolution, voire une utopie, qui dépasse de très loin le seul cadre de l'emploi. En vrac quelques suggestions sur le sujet important d'un emploi pour tous. _Poursuivre impérativement la tendance historique de la diminution du temps de travail. _Cesser de considérer que le remplacement des humains par du "numérique" est incontournable et désirable. C'est en général les intellectuels qui estiment que tel boulot est trop "bête" (un qualificatif plus court est utilisé) et que d'une certaine façon c'est un cadeau fait à l'opérateur que de le remplacer par un automate. _Arrêter le développement de l'emploi Kleenex dans les entreprises. Les divers stages post-bac sont (tous les ans) équivalents à au moins 300000 emplois (temps plein). (Note. Cette année, du fait du confinement, pas de stages pour les étudiants… où est le problème ? Il n'y en a pas. Ils seront diplômés sans stage, et personne dans six mois ne saura détecter "ce manque"). Par contre, sur la base du volontariat, proposer aux enseignants des stages périodiques (5 ans par ex.) en entreprise. Aux enseignants, pas aux étudiants. Notre société s'en portera mieux. _Dans le même esprit. Stop à l'alternance (apprentissage) post bac. Stop à cette autre aubaine financière pour les entreprises, qui bien entendu, ne gardent pas les alternants à l'issue de leur contrat, mais se dépêcher d'en reprendre d'autres ! (très récemment, 9 juin 2020, création d'une prime d'incitation de 5000 et 8000€ par contrat d'apprentissage signé !). _.... à compléter. Christian. GA Verrières-le-Buisson

20 juin 2020 23:52
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Connecter les enfants de la nation.
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L'état devra assurer la connexion de nos élèves en versant des tickets nominatifs pour connexion chaque année de l'âge de 7 ans à la fin des études et à des âges charnières, fournir des bons d'achats nominatifs pour ordinateur à l'âge de 7 ans, 11 ans, 15 ans et tous les 4 ans jusqu'à la fin des études, sans oublier des cours multimédia avec une instruction sur les dangers d'addiction, les dangers du net et les besoins impérieux d'une éthique à avoir sur internet.

21 juin 2020 02:56
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Revaloriser les salaires de nos étudiants en médecine !
Contribution
Au moment où nous avons besoin de plus de médecins que jamais dans nos hôpitaux publiques, il est nécessaire de se poser les bonnes questions. Les études de médecine sont connues pour être parmi les plus compliqués, et les plus longues. Il faut à tout prix revaloriser les salaires dans le domaine médical. Quelques exemples : Un étudiant en médecine en 4ème année post bac, est rémunéré 130 euros brute par mois, pour 80 heures de travail. Cela fait moins de 2euros de l'heure ! Cette situation est absolument insupportable. Pour comparaison, un étudiant en alternance au niveau Master 1 gagne en moyenne 19 000 euros, soit plus de 1580 euros par mois. Ils sont ainsi payés au SMIC. Pire encore, un étudiant en médecine en 6ème année post bac, alors même que les étudiants sont confrontés à un examen d'une extrême difficulté, devant ainsi carburer s'ils veulent avoir la spécialité qu'ils désirent, ils sont aussi payés pour leur multiples heures de travail, seulement 250 euros par mois. Encore une fois, à titre de comparaison, un ingénieur, (je prends cette formation, car elle se rapproche de la difficulté des études de médecine) gagne en moyenne 36000 euros après son bac +5, soit 3000 euros par mois. Si vous pensiez que la situation était déjà mauvaise, attendez vous au pire, car cet enfer n'est pas terminé ! Se rajoutent à ses conditions de travail très dures, ses salaires très bas, et ses études très longues et compliquées, une majorité d'interne qui travaille bien plus que le temps de travail maximal, (48h) allant parfois jusqu'à 80heures de travail ! SEULEMENT 14% d'entre eux récupère le salaire qu'il leur est dû pour leurs heures de travail supplémentaire. Cette situation est absolument insoutenable, il faut réagir ! Il faut dire stop à l'esclavagisme des internes ! Il faut mettre en oeuvre une réelle valorisation des salaires. Pour cela, il faut que tous les étudiants, et cela dès la 5ème année de médecine, touche au moins le SMIC horaire. Pour la 4ème année, il faut au moins leur garantir le seuil de pauvreté, afin qu'ils puissent au moins continuer leurs études sans avoir besoin de l'aide par la forme de subventions de leur famille, comme c'est le cas actuellement. Je rappelle quand même, que la majorité des employés en alternance au niveau Bac +4 touches déjà le SMIC horaire, pour généralement des temps de travail similaires, voire réduits. Il faut aussi payer correctement les heures de travail supplémentaires, c'est nécessaire à la survie de notre système de santé ! C'est un bon moyen pour inciter les élèves et étudiants afin qu'ils privilégient les centres hospitaliers publics.

21 juin 2020 04:50
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Décider.
Contribution
(de l'esprit) Nous devons décider. C'est un impératif. Pas juste tous les 5 ans. Pas juste une fois pour toute. Cela parait simple, évident, mais ça ne l'est pas. C'est même le contraire, pour qui manifeste, ou pas : citoyen.nes ordinaires, salarié.es du publique ou du privé, écologistes, gilets jaunes... la liste est longue. Ces dernières années, sur tous les sujets, nombreux sont celles et ceux qui se sont indigné. Mais se faire entendre est devenu difficile, coincés entre l'éxecutif, les forces de l'ordre, les forces de la bonne pensée, s'ajoutent d'autres plus retorses. La crise du Covid nous l'a montré : aux décisions d'un tout petit groupe, les risques sont accrus pour le plus grand nombre, ou catégories sans pouvoir de la population. Décider concrètement ? Réellement ? Est-ce que nous le voulons tous, tous les jours, à tous propos ? Pourtant si nous y renonçons, notre volonté en tant que citoyen.nes d'une nation sera toujours contrainte, flouée, ou simplement niée. Ainsi, est citoyen.ne celui et celle qui décide, influe sur les décisions. Il faut enjoindre les citoyen.nes à vouloir décider, et donc à construire une organisation des droits dans laquelle les Français seront amenés demain à décider. Dire cela peut sembler étrange, car nous sommes maintenus à l'écart de la décision, avec l'illusion que quelqu'un quelque part "s'en occupe", et que dans le cas contraire la somme de nos déceptions permettra à la fin peut être de remplacer. En ce moment fleurissent des initiatives, des appels de collectifs pour tirer les leçons des crises actuelles : Convention citoyenne pour le climat, Comité National Nouvelle Résistance, articles dans la presse... Essentiellement tourné sur ce qu'il faudra faire nécessairement. Mais quoi, rien sur la décision ? Pourtant depuis des années, j'entends que "les travaux ont été fait", que l'on "sait ce qu'il faut faire". Enfin, nous donner à nous même le pouvoir de décider, ce peut être une morale plus large qui serait insufflée. On pourra se tromper, sûrement, mais par la suite apprendre de nos erreurs, avec l'opportunité prochaine de faire mieux et pour le "Bien commun". (de la matière) Pour rendre concrete la perspective d'une 6éme République, il faudrait mettre au débat des propositions d'articles. En voici 2 à votre sagacité. (1) programmer l'élection de nos député.es aux législatives tous les ans. Cela permettra une meilleure prise des citoyen.nes sur les politiques menées au travers de leurs député.es, qui eux auront meilleure prise sur le gouvernement. (2) programmer la révision de la constitution tous les 10 ans par les citoyen.nes. Pour assurer le pouvoir citoyen sur les règles que nous nous donnons. Au temps présent, propositions ne valent pas promesses. Mais elles doivent être faites pour le débat. C'est leur sens qu'il faut creuser. Je finis en disant : tout ceci me viens, dans la période de confinement, de cette histoire d'attestation de sortie, que nous avons eu à subir. Ce fut le ridicule de devoir se faire une autorisation à soi même, surtout pour le nécessaire. C'est l'infantilisation quant à nos responsabilités face aux risques. C'est la crainte de ces amendes à 135€, et la pesante certitude des dérives autoritaires qui en ont découlé. Tout cela pour une banale décision, sans même parler du reste. Merci de m'avoir permis cette expression !

21 juin 2020 08:48
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efficacité démocratique
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- Bravo et Merci à tous nos députés - jamais de réponse aux suggestions ou questions posées sur la plateforme, sans doute faute de moyen et donc ne pas faire semblant - ajouter au programme "interdiction des monopoles privés" CAD tous les domaines économiques doivent comporter une société publique, une régie une SCIC etc exemple pas question de laisser l'industrie médicale au seul domaine privé et reconstruire les arsenaux (sanitaire, énergétique, etc) -bien souligner dans notre com que grand média, haut fonctionnaire, ministres, et beaucoup e député sont visible corrompu HALTE A LA CORRUPTION. HALTE AU DÉTOURNEMENT DE FONDS - quelque soit nos imperfections observons bien que dès le lendemain des présidentielle les action plus ou moins occulte pour nous détruire..... donc pas question de croire que nous sommes en démocratie

21 juin 2020 08:52
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Souveraineté numérique
Contribution
Nous avons en France le record européen d'entreprises produisant du logiciel libre et de laboratoires de recherche publique trouvant des algorithmes innovants. Malheureusement ce tissu économique et de recherche publique n'est pas soutenu par la commande publique. Si beaucoup savent bénéficier des programmes de recherche et développement qui existent, ils ne sont pas soutenu dans les choix d'équipements. Le fait que la commande publique se tourne systématiquement vers les solutions issues des grandes entreprises des USA, notamment de Microsoft, crée une dépendance extrême avec des conséquences politiques fortes tout en entravant l'éclosion de solutions française crédible sur le marché européen et international. Soutenir l'innovation en logiciel libre, faire que chaque administration publique par sa commande participe par leur usage à orienter les solutions libres issues de nos entreprises doit être un objectif fort pour reprendre notre indépendance numérique. Proposition : Toute administration soumise aux règles de la commande publique, lorsqu'elle envisage de s'équiper d'un logiciel, qu'il soit proposé en tant que service (SaaS) ou installé sur sa propre infrastructure informatique, doit en priorité orienter sa commande vers un logiciel dont la licence qui lui sera concédée répond aux quatre critères de liberté définissant un logiciel libre tels que rédigés par la Free Software Foundation (https://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html).

21 juin 2020 10:20
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Pour une démocratie représentative et participative
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Un député par circonscription d’environ 100000 habitants. Une assemblée renouvelable par cinquième tous les ans. Un conseil de citoyens tirés au sort par circonscription auquel le député rend compte régulièrement et qui peut provoquer de nouvelles élections. Un exécutif sous le contrôle de l’assemblée : chaque ministère correspond à une commission qui est seule source de propositions de loi. Recours au référendum pour les lois les plus importantes.

21 juin 2020 10:46
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Déconfinons le socialisme !
Contribution
L’épidémie de coronavirus a mis en évidence aux yeux du plus grand nombre l’incurie de Macron et son équipe, alliant mensonges et incompétence : mensonges sur la gravité de la pandémie, mensonge sur le degré de préparation du pays, mensonges ayant conduit à l’organisation d’élections municipales alors qu’elle était déjà là, mensonges sur les masques, mensonges sur le matériel médical… Et bien entendu complaisance vis à vis des multinationales de l’industrie pharmaceutique. Au lieu d’une distribution massive de masques, de dépistages systématiques et de confinement des malades, nous avons eu une mise à l’arrêt total du pays pendant deux mois et demie. Avec à la clef un lockout de la classe travailleuse et un coup fatal aux PME et au petit commerce. Ce scandale a totalement discrédité le pouvoir auprès de larges couches de la population et fait émerger de puissantes aspirations à la défense du service public, hospitalier en premier lieu et à la relocalisation d’une économie rendue folle par la « mondialisation » capitaliste. Ces aspirations et revendications sont justes : - oui, il faut redonner au pays les capacités industrielles qui lui font défaut pour produire médicaments, masques, blouses et tout ce qui est indispensable à la santé. - oui, il faut créer un pôle public du médicament. - oui, il faut garantir aux médecins la liberté de prescrire. - oui, il faut augmenter les salaires de tout le secteur pour le rendre à nouveau attractif - oui, il faut stopper le démantèlement du secteur hospitalier public et ré-investir massivement ! Et l’arrêt du pays a également permis de mettre en évidence le rôle essentiel dans son fonctionnement d’un grand nombre de travailleurs jusqu’ici ignorés et méprisés : éboueurs, agents des transports publics, livreurs, caissières et manutentionnaires, etc. Eux aussi, devraient avoir droit à une revalorisation financière et statutaires de leurs emplois, à commencer par une prime immédiate. Et maintenant la crise est là Après une gestion calamiteuse de l’épidémie du coronavirus par nos gouvernants, la mise au chômage forcé du salariat et des petits commerçants au bord de la ruine, la crise économique est là. On annonce une récession de 11 à 14 % selon les estimations et le gouvernement lui-même anticipe 800 000 chômeurs supplémentaires dans les mois à venir. Car ne nous y trompons pas : la classe dominante, appelons-la par son nom, la grande bourgeoisie détentrice du capital, va tout faire pour se rétablir aux dépends du peuple : salariés du secteur privé en premier lieu, mais aussi fonctionnaires, artisans et commerçants, petits agriculteurs. Vers l’affrontement Après une gestion calamiteuse de l’épidémie du coronavirus par nos gouvernants, la mise au chômage forcé du salariat et des petits commerçants au bord de la ruine, la crise économique est là. La situation va empirer avec la fermeture d’entreprises, la hausse du chômage, la fragilisation des TPE et PME mais aussi la remise en cause du temps de travail, des congés… Durs avec les petites gens, les fondés de pouvoir des multinationales qui nous gouvernent n’ont qu’une seule politique : privatiser les profits et socialiser les pertes. Pour la bourgeoise, les choses sont claires : les salariés-contribuables vont devoir mettre la main à la poche pour renflouer les grandes entreprises. Hors de question de laisser les mêmes profiter de l’argent public pour se refaire une santé. Les contreparties minimales à toute aide doivent être : la garantie de l’emploi l’entrée de l’Etat dans le capital des entreprises en difficulté le contrôle des salariés sur la marche des entreprises Partout, dans les usines, les bureaux et les quartiers, il faut construire des organes de lutte qui puissent s’ériger en contre-pouvoirs : puissantes organisations syndicales, comités élus, assemblées populaires. Les libertés publiques sont elles-mêmes attaquées. Pour nous défendre, il faut pouvoir se rassembler, il faut exiger l’annulation de toutes les mesures de restriction des libertés démocratiques (droit de réunion, de rassemblement et d’expression sur les réseaux sociaux). Les organisations populaires et le mouvement ouvrier doivent également prendre des mesures d’autodéfense pour être capables de faire respecter leur droit de manifestation et de grève face aux provocations policières. Dans tout le pays monte sous des formes diverses et complexes une volonté de réappropriation de la démocratie, de restauration de la souveraineté populaire et de mise au pas du capital financier. Il s’est manifesté hier par le soulèvement des « Gilets jaunes » et perdure aujourd’hui dans les luttes des hospitaliers. Demain il gagnera les entreprises. Il s’exprime aussi, de manière confuse, sur le plan politique. Mais rien n’est joué. On voit bien comment les forces du libéralisme autoritaire n’entendent pas passer la main. On voit aussi comment s’organisent des diversions qui n’ont pour objet que de créer la division. Dans ce contexte, il y a urgence à arracher de larges couches à l’influence délétère de la droite nationaliste, ce face à face avec le pouvoir macronien ne profitant qu’aux dominants. Plus que jamais il est vital de contribuer à l’émergence d’un bloc ouvrier et populaire qui fédère contre l’oligarchie et vise le pouvoir. Le monde d’après ? Le socialisme Pour que le monde de demain soit souriant à nos enfants, il faut bien sûr rompre d’urgence avec le libéralisme mais on ne saurait se contenter d’un replâtrage du système capitaliste dans une version protectionniste, ni d’une prétendue « transition » vers un capitalisme vert. Pour en finir avec l’exploitation, la misère et la guerre, il n’y a qu’une solution : exproprier les expropriateurs ! Pour ce faire, les producteurs doivent s’emparer du pouvoir d’Etat et établir un régime socialiste autogestionnaire, où le pouvoir serait enfin entre les mains du peuple. Ce nouveau pouvoir rétablira la primauté du droit national sur le droit européen et établira des relations égalitaires et de coopération avec tous les peuples et tous les pays. Il prendra les mesures nécessaires à la mise au pas des trusts et convoquera une assemblée constituante pour définir de nouvelles institutions. Il entamera la transition vers la disparition des classes sociales et de l’Etat. Il n’y aura pas d’égalité tant qu’existeront les classes sociales, par elles-mêmes source d’inégalités. Car si la défense des conditions d’existence immédiates de tous est bien la tâche immédiate, l’avenir que nous voulons est l’abolition de l’esclavage salarial.

21 juin 2020 10:49
Titre
Pour une démocratie retrouvée
Contribution
Je crois que la Fi aurait tout à gagner à abandonner l’idée du Plan A Plan B pour inscrire dans son programme l’obligation d’un référendum sur la sortie de l'UE au plus tard 1 an après la Présidentielle. C'est pour un grand nombre d'amis abstentionnistes mais prêts à retrouver les urnes un préalable indispensable. La Fi leur plaît mais ils voient dans le plan A / plan B, une enième entourloupe politique. Le débat pourrait alors s’installer véritablement et les Français du XXième siècle choisir un peu plus leur destinée. Le renouveau démocratique voulu et prôné par l’avenir en commun se trouverait « une tête de gondole ».