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Formulaire de contribution au texte "Départementales, régionales : La France insoumise appelle à des programmes communs"

Réponses 61 — 80 sur 239


2 septembre 2020 09:59
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Une fois l'accord national conclu (entre partis, syndicats et associations), une fois les orientations communes fixées, je suppose que les parties prenantes se rencontreront au niveau de chaque département, puis région, afin d'établir leur liste et leur programme particulier local. Ne pourrait-on alors laisser les gens des équipes locales organiser entre eux la distribution sur leur liste des places éligibles, c'est-à-dire ne pas interférer sous prétexte d'une juste répartition nationale des postes ? Concernant l'intitulé des listes, afin de ne froisser aucune susceptibilité tout en annonçant la couleur, je suggère qu'il pourrait être : - soit très court et généraliste, comme "La Gauche 2022", - soit englober toutes les sensibilités, par exemple "Fédération Populaire Anticapitaliste, Ecologique, Sociale et Démocratique"

2 septembre 2020 10:16
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Juste que je ne pense pas, (pour l’avenir du sujet) qu’il soit opportun de débuter sur "La pandémie menace d’une seconde vague.” Car, nous le savons, il y a trop de doutes sur le sujet : désinformation, trucage, etc... De plus, nous risquons de nous mêler à ceux qui ont contribué à tromper les Français et de nous le faire reprocher. Pour le reste, le tableau me semble complet. J’aime bien le passage appuyé sur les Collectivités Territoriales. Il faut penser aussi à bien développer la question ”animale” qui fait de plus en plus consensus avec l’écologie. Michèle BELAN.

2 septembre 2020 10:46
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Dans les sujets qui fâchent et qui sont du niveau territorial il manque la question de "l'expérimentation" au niveau local et par exemple celle de la mise en place d'un revenu universel, la République étant une et indivisible. On fait quoi avec Génération s , EELV et certains PS ?

2 septembre 2020 10:48
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Ajouter une défense sans faille de la laïcité

2 septembre 2020 10:59
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Je compléterai le texte avec : ....De démocratiser les collectivités territoriales : engagement des futurs élu·es insoumis·es à faire vivre le principe de révocation par la prise en compte du vote Blanc.. ... démocratisation de la gestion de l’eau et de la gestion des déchets ... Je corrigerai ce texte par : ... démocratisation de la vie associative en stoppant la logique de soumission des associations par la mise en place d'un conseil associatif délégué au conseil départemental regroupant les présidents des associations... merci

2 septembre 2020 11:04
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Invité lors des derniers amfis d'été à débattre avec Mathilde Panot, je vous propose quelques modifications qui concerne la question de l'engagement associatif. En début de texte, à la place des 2 premières phrases, commencer par une formulation positive qui reconnaît d'emblée la force de l'engagement citoyen : "Alors que la pandémie menace d’une seconde vague, la mobilisation quotidienne de milliers d’acteurs associatifs et de citoyen.nes nous montre que la lutte contre le changement climatique et pour la justice sociale est engagée." dans la suite, préciser : ... pour les organes de la démocratie, partis politiques traditionnels et instances représentatives, tels qu’ils sont devenus dans notre pays. Enfin il me semble maladroit de vouloir "démocratiser la vie associative". Je propose à la place : "garantie de la liberté associative en stoppant la logique de soumission des associations aux critères du marché et aux intérêts politiques partisans ; Ce dernier ajout vise les multiples formes d'atteinte à l'indépendance et aux libertés associatives, notamment par la discrimination à l'attribution de subventions par exemple en région ARA, Hautes de France ou PDL. Ultime remarque, une relecture minutieuse de l'emploi et de la forme de l'écriture inclusive est nécessaire. Gilles ROUBY, Président du Collectif des Associations Citoyennes

2 septembre 2020 11:08
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Je supprimerais la référence à une 3è vague pandémique possible, car à mon avis, il n'y en a eu qu'une. Les nouveaux cas révélés sont dus aux tests enfin mis en place de façon plus importante, mais les contaminations actuellement décelées sont moins graves qu'en mars -avril, et peuvent aussi être simplement des restes du virus, alors que celui-ci a déjà disparu de l'organisme. Ce qui compte, c'est le fait que le nombre d'hospitalisations et de décès baisse sans arrêt, et que les guérisons se font naturellement. Pour moi, le gouvernement met en place un contexte anxiogène qui lui permet de restreindre nos libertés d'expression, de manifestation, etc. Il aurait fallu que dès le début des tests massifs soient faits, les contaminés isolés, et pas de confinement général, qui a mis en très mauvaise posture notre économie, nos emplois, nos loisirs, etc. Le gouvernement a fait preuve d'impréparation criminelle, qui a conduit à ces mesures extrêmes qui auraient pu être évitées.

2 septembre 2020 11:09
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- RSA pour les - 25 ans - Contrat jeune majeur pour tous jeunes pris en charge par l'ASE ( MNA compris) de fait jusqu'à 21 ans. Soit un CJM de 3 ans de base. Seul le jeune peut revenir dessus.

2 septembre 2020 11:18
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- Introduction, 2 ème paragraphe: juste pour alléger la phrase, supprimer "pour finir", puisqu'il est mis au début "le moment venu". Correction du "a" C’est pourquoi le moment venu, aux élections présidentielles et législatives, les électeur·ices décideront quelles orientations ils et elles veulent voir mettre en œuvre à la tête du pays. - Idem, 3ème paragraphe, correction et profiter pour remettre en avant l'AEC : " Certes les choix d’orientations fondamentaux pour le pays concernant, par exemple, le projet de 6e République, l’Union européenne, le nucléaire, le système des retraites nous séparent des propositions d’autres organisations politiques.Mais ces différences ne sont pas impliquées par le niveau départemental et régional dans le cadre de leurs pouvoirs actuels. ", en " Certes, les principaux axes de changement inscrits dans notre programme l'AEC, comme sur le projet de la 6ème République, sur l'Union Européenne, le Nucléaire, et sur le système des retraites, sont des propositions qui nous opposent avec les autres organisations politiques. Mais ces sujets ne relèvent pas des compétences des Départements et des Régions. Début de la deuxième proposition, précisions: " D’engager la bifurcation écologique en refusant l’ouverture à la concurrence des TER et en développant les lignes d’intérêt local" : pour le transport domicile /travail en zone rurale, pour le développement du fret commercial; TroisIème proposition, rajout : " De démocratiser les collectivités territoriales : engagement des futurs élu·es insoumis·es à faire vivre le principe de révocation", + "favoriser la voix du peuple par des consultations régulières lors de Conseils départementaux et/ou régionaux Citoyens sur les grandes questions qui les concernent", .. Ok pour la fin. Bonne campagne à toutes et tous!

2 septembre 2020 11:21
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En préambule, bravo pour votre travail : je ne vois aucune opposition au contenu en substance. Mais il y a un angle mort, et de taille, qui laisse (à nouveau) béante une faille idéologique dont nous avons manifestement encore insuffisamment débattu (mais qui a déjà créé énormément de remous, notamment au niveau local, comme ici à Toulouse, ce qui est probablement l'explication majeure à la défiance et à l'abstention aux municipales). Je m'explique. Dans ce texte, je ne trouve aucun outil dialectique pour militer auprès de celles et ceux qui nous parlent de dégagisme (vous savez, ce terme qui a disparu de notre vocabulaire depuis 2017). Il n'y a pas que les CSP+ à convaincre. Il n'y a pas que les marchés bobos du dimanche où aller tracter. Aux yeux de certain.e.s, nous sommes passés d'une force dégagiste (et populiste) à une force rassembleuse (tendance bobo) et j'ai l'impression que c'est de plus en plus assumé dans notre mouvement. Or, comment garder la possibilité de faire marche arrière pour les prochaines présidentielles à moins de planifier (et d'espérer) notre défaite aux élections intermédiaires, pour pouvoir dire "on a essayé, c'est la faute aux autres" ? Quelle que soit la stratégie, afin de garder ouvertes toutes les configurations d'adaptation, il me semble impératif de continuer de parler dégagisme. C'est pourquoi je propose les modifications suivantes : premier paragraphe : "nous sommes une force de renouvèlement, nous voulons en priorité incorporer les acteurs et actrices de la lutte sociale mais aussi les électeurs découragés" et au paragraphe des souhaits pour mener une coalition : "pas de politiques de métier dans les têtes de listes OU un binôme nouveau/ancien (dans cet ordre, et dans l'optique d'un transfert de compétences)." Bien fraternellement, Bien sororalement aussi, Baptiste

2 septembre 2020 11:34
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Concernant le troisième paragraphe "De démocratiser les collectivités territoriales". Il est pertinent d'appeler à renforcer la mise en place du Dialogue structuré. Ceci afin de donner une voix plus importante aux jeunes dans la prise de décision politique. Ainsi amplifier les principes de participation des jeunes. Les régions étant chef de filat des politiques jeunesses, c'est à elles que revient cette obligation. De même, pour la vie-associative et notamment et surtout les associations de jeunesse et d'éducation populaire, il convient d'appeler à la création de Contrats pluriannuels d'objectifs pour les financement publics. Pour ainsi contrer le processus du financement via les appels à projets et autres marchés publics. Le principe des appels à manifestations d'intérêts peut être intéressant pour cela. De même, dans une période où l'État décide de se passer des têtes de réseaux, il est important pour les associations locales de soutenir des têtes de réseaux territoriales. Sur les politiques culturelles, il y a aussi des choses à envisager. Les collectivités prennent de plus en plus d'importance dans le financement de la culture mais cela se fait au détriment d'une volonté émancipatrice de la culture. Nous voyons depuis quelques années une utilisation de la culture par les collectivités comme un axe du marketing territorial. Ce qui peut être contraire avec l'idée que la culture doit être au service de l'émancipation des citoyens. D'autant plus que suite à la loi NOTRe, les Régions doivent permettre la réalisation des droits culturels. De même, la désignation d'une vice-présidence à l'éducation populaire qui s'occuperait des questions éducatives (collèges et lycées), des questions associatives, des processus de participations citoyennes et également des politiques culturelles, peut être intéressant. Car cela permettrait de coordonner l'intégralité de ces domaines dans un seul objectif, celui de permettre aux habitants de pleinement devenir et être des citoyens d'une démocratie vivante.

2 septembre 2020 11:53
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Au niveau sociétal, Un parcours parental sera proposé à chaque futur parent contactant la CAF, en plus de l'augmentation de la durée du congé paternité. Ce parcours permettra de préparer le couple parental au travers de réunions avec des professionnels, pour sauvegarder les liens parentaux souvent soumis à rude épreuve. La famille fait partie des priorités humaines qui n'ont pas encore de livret dédié. Je souhaite sa création.

2 septembre 2020 12:02
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Je reprendrais « Pour La France insoumise, le rendez vous électoral de mars 2021 est l’occasion de proposer : » Et j’ajouterais : 1/ « Une rupture et opposition systématique à tous fondements et pratiques politiques néo-libérales. A contrario, les bases de l’action politique territoriale reposeront sur des valeurs humanistes ». 2/ « une politique en faveur de la diversité culturelle et de la protection du patrimoine devra être engagée au-delà des moyens jusqu’alors mis en œuvre. Elle ira à l’encontre du courant d’uniformisation et d’appauvrissement culturel menée actuellement par nos gouvernants néo-libéraux sous l’influence des lobbys  »

2 septembre 2020 12:05
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Je voudrai que soit spécifié un véritable plan formation pour les jeunes dans les régions car contrairement à ce qui est dit les jeunes sont complètement mis de côté pour la formation . Donc une obligation régionale doit être envoyé à tous les entrepreneurs pour un véritable engagement à prendre les jeunes en formation et non plus des promesses et le respect des règles de formation y compris pour la rémunération ce qui encourage les gens à faire .

2 septembre 2020 12:10
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Bonjour ; voilà maintenant plus de 20 ans que l'on utilise l'énergie solaire , mais , hélas , d'une manière trop restreinte . Et si l'on proposait une loi qui permettrait d'installer , systématiquement , au même titre que les isolations , 30% de panneaux solaires de la surface de toiture de toutes nouvelles constructions. Super marché , usine , hangar et maisons individuelles. En 1992 , science et vie , diffusait une enquête où des scientifiques , estimaient que si la moitié des toits de France étaient équipés de panneaux solaires , on fournirait toute l'électricité domestique du pays . Les avantages sont multiples : création d'emplois , fermeture de centrales nucléaire , moins de CO2 etc...

2 septembre 2020 12:34
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Remarques. Dans la partie propositions LFI, je pense qu'il est important d'aborder deux sujets : - la ruralité, son importance pour des milliers de citoyennes, de citoyens, de salariés, de retraités, mais aussi de nombreux jeunes. Il faut garantir des moyens de maintien et de développement des zones rurales. Je propose de reprendre quelques éléments sur le sujet dans le livret thématique ; - la culture est absente de nos propositions ? Je suggère d'aborder le sujet en termes propositionnels pour les départements et les régions. Là aussi, il s'agit de renforcer, de développer les moyens pour une culture de terrain, une culture de la citoyenneté dans les domaines multiples ; la peinture, la poésie, la sculpture, la poterie... Le théâtre, le cinéma, la musique... Les librairies, disquaires, magasins d'instruments de musique, etc.

2 septembre 2020 12:38
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Vous parlez de "démocratiser la gestion de l’eau en mettant un terme aux délégations de service public et en passant à une gestion publique". Je suggère d'étendre cette proposition à tous les réseaux/fluides d'intérêt commun ou première nécessité objets de mercantilisation : gaz, électricité, voire télé-communications. Dans le même ordre d'idée, il pourrait être intéressant d'aborder la dé-privatisation de grands équipements d'intérêt général, en particulier lorsque l'investissement a été porté par des fonds publics (aéroports, ports maritimes et fluviaux, équipements sportifs/culturels etc ....). Je trouve dommage que le texte n'aborde pas plus frontalement les questions d'urbanisme et d'aménagement du territoire. Bien qu'il ne s'agisse pas exactement de leur champ de compétences, il peut y avoir un réel enjeu à renforcer la capacité d'action des départements dans ce domaine, en particulier dans les territoires peu structurés au niveau intercommunal. Les départements peuvent se doter de leviers d'actions (ingénierie, financement) en soutien aux plus petites collectivités qui se retrouvent souvent démunies face à la prédation des opérateurs immobiliers, et autres spéculateurs fonciers, les empêchant de développer des visions stratégiques, planifiées et durables de leur développement. Plus particulièrement dans le domaine de l'habitat, il pourrait également être intéressant de militer pour renforcer le pouvoir d'action des départements, par exemple en généralisant les possibilité de délégation des aides à la pierre de l'Etat face aux politiques publiques et aux aides saupoudrées de façon déconnectée des réalités territoriales (développement et rénovation de l'offre sociale, rénovation de l'habitat ancien, politiques d'attribution des logements sociaux, cartographie loi Pinel etc ...). Enfin, une politique publique, aussi pertinente soit-elle, ne saurait être correctement mise en œuvre sans l'action des fonctionnaires. Le texte pourrait ainsi aborder la question de l'amélioration des conditions de travail et la revalorisation de l'action des agents (matérielles, ressources humaines, parcours professionnels), pour redonner du sens et de la fierté aux agents dans l'exercice de leur mission, et bénéficier in fine d'un service public de meilleure qualité. A vos côtés pour ces nouvelles campagnes. Cordialement

2 septembre 2020 12:57
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Voici mes suggestions à partir du texte lu ici: https://lafranceinsoumise.fr/2020/09/01/departementales-regionales-lfi-appelle-a-des-programmes-communs/ 1. Vis-à vis de l'éducation je ne lis que cet entre-virgules: "un plan de formation et d’emploi pour les jeunes en difficulté […]" --> je suis étonnée de ne rien voir sur les collèges et lycées, qui dépendent pourtant des compétences régionales. 2. Dans le deuxième paragraphe: "C’est pourquoi le moment venu, aux élections présidentielles et législatives, les électeur·ices décideront quelles orientations pour finir ils et elles veulent voir mettre en œuvre a la tête du pays." --> Je trouve la syntaxe pas top sur le "décideront pour finir" pour moi il faut supprimer le "pour finir". Voilà, sinon la ligne politique est claire je trouve. Merci de votre boulot :) Alice

2 septembre 2020 13:17
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Ajout au texte : L'insoumission est la seule voie de rupture avec un système qui entraine l'humanité à sa perte y renoncer reviendrait à sacrifier nos enfants et petits enfants.

2 septembre 2020 13:23
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Pour les transports, il faut mener le combat sur les tarifs, mais également sur leur développement et leur maintenance : prendre les TC ne doit plus être synonyme de moins de confort, moins de tranquillité. Il faut une offre + dense, + sûre, + élargie. Et insister sur les services publics ! Aujourd'hui des personnes vivent + près d'une centrale nucléaire que d'un hôpital. Les lycées ne sont pas dimensionnés à la hauteur: cantines trop petites, gymnase et stade non adéquats. Installer des SP dans les petites villes pour favoriser l'accès à la formation, à la culture. Il faut redynamiser tous les territoires oubliés par la bourgeoisie: les quartiers populaires et les campagnes. Et prendre la défense de nos espaces naturels. Ils sont toujours à la merci des permis de construire des plateformes commerciales, des centres commerciaux, des déchetteries qui se multiplient, des espaces agricoles de monoculture, etc.