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Formulaire de contribution au texte "Départementales, régionales : La France insoumise appelle à des programmes communs"

Réponses 81 — 100 sur 228


2 septembre 2020 15:07
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Aider au développement et à l'implantation des technologies de l'hydrogène sur les plans du stockage et de la motorisation. Repartir les aides à l'agriculture en fonction des ménages et non des surfaces, favoriser le bio.

2 septembre 2020 15:51
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Supprimer :la chasse aux pauvres Ajouter:developper les transports collectifs,les pistes cyclables,creer des parkings de dissuasion près des gares en grande couronne,

2 septembre 2020 16:04
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Depuis le début de la pandémie, nous sommes entrés encore plus dans une société de la peur .. la peur irrationnelle aboutit à la barbarie. Le Macronisme, les médias de l'oligarchie financière qui le soutiennent sans réserves utilisent cette situation pour assujetir la population, renforcer les comportements de soumission et de peur.. quitte à rendre logique, acceptable la mis au tapis du monde de la culture, la perfusion encore et encore du monde de la santé, de l'éducation l'arrêt sans échéance du monde associatif, les médiathèques n'acceptent plus de rester consulter, les maisons de quartier sont devenues inaccessibles (à La Roche sur Yon) ... alors oui, soyons un minimum critique sur cette pandémie, et ne renforçons pas sans raison vérifiée et légitime les procédés de "protection" qui ne paraissent pas en correspondance avec la situation réelle de la dangereusité de la pandémie et de son évolution Non à une société de la Peur !

2 septembre 2020 16:08
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Dans le texte sur la bifurcation écologique, insérer : "investir sur l'amélioration de la condition animale, par l'incitation à l'élevage extensif, ou en extérieur, l'abattage à la ferme, les menus végétariens et végétaliens dans les cantines scolaires, l'intégration dans la culture scolaire du respect de la vie animale, l'installation de corridors biologiques pour les animaux sauvages, l'arrêt des constructions coûteuses et à l'origine de la déforestation, les aides aux refuges ou création de ceux ci, campagnes contre les abandons et pour la stérilisation, développement d'une police formée pour venir au secours des animaux."

2 septembre 2020 16:13
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Trois points doivent retenir notre attention pour contribuer à une meilleure cohésion sociale : -le développement de la culture -le développement du sport -développer la vie de nos ainés chez eux Le développement de la culture -------------------------------------- L'accès à la connaissance pour tous est gage d'un meilleur cadre de vie, d'un meilleur développement de soi, d'une prise en compte citoyenne et contribuerait ainsi à une meilleure cohésion sociale. Donner un nouveau souffle aux MJC serait se doter d'un outil où de véritables professionnels permettraient de réaliser de fabuleux projets. Le développement du sport --------------------------------- Véritable ressource de vie, la pratique du sport doit pouvoir s'adresser à tous et à toutes. Il faut mettre en place des coordinations avec l'ensemble des associations sportives et autres. L'été doit être l'occasion de faire découvrir les différentes disciplines sportives, en utilisant les infrastructures laissées libres et en favorisant le lien avec les centres de loisirs ou aérés. Développer la vie de nos ainées chez eux -------------------------------------------------- L'avancée en âge ne doit pas laisser à l'abandon la place dans la société. Il faut donc développer l'aide à domicile, les relations avec le monde associatif, favoriser l'intergénérationnel, pour que ce passage, après une vie bien remplie, ne puisse pas couper tout repère au quotidien. Tout ceci doit se faire en mettant les moyens financiers, humains et que chacun des intervenants puissent être rémunérés correctement en permettant l'accessibilité à tous et toutes. Christian

2 septembre 2020 16:22
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Ne pas ouvrir la discussion à Place Publique et supprimer la référence aux "gilets jaunes", ce mouvement étant terminé depuis maintenant des mois.

2 septembre 2020 16:22
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(MODIF EN MAJUSCULES, NOTA BENE : j'aime l'idée de séparer élections présidentielles et locales, enjeux nationaux et internationaux et locaux.) Le changement climatique est engagé. La pandémie menace d’une seconde vague. Des centaines de milliers d’emplois sont déjà en cours de destruction. ON ENFONCE DES PORTES OUVERTES AVEC CES 3 PHRASES. À chaque nouveau rendez-vous électoral, la progression de l’abstention, particulièrement dans la jeunesse et les milieux populaires, prouve la désaffection du grand nombre pour les organes de la démocratie tels qu’ils sont devenus dans notre pays. Sur tous les terrains, des défis inédits se présentent au pays. Le temps presse pour engager le changement de cap salvateur. La France insoumise est le mouvement voué à la révolution PACIFIQUE citoyenne. (UNE PETITE EXLICATION ?) Elle œuvre à fédérer le peuple à partir d’un programme. En 2017, elle a ainsi rassemblé 7 millions d’électrices et d’électeurs autour du programme de gouvernement « l’Avenir en commun ». EN 2021? il sera enrichi avec les livrets thématiques, LE REGARD DES associations, DES CITOYENS (LES INTELLOS, ON S'EN TAPE çA PEUT FAIRE PEUR AUX ABSTENTIONISTES) dans les mois à venir. Il est certain que ce programme n’est pas compatible avec certaines des orientations que développent les partis de la gauche SOCIALISTE. C’est pourquoi le moment venu, aux élections présidentielles et législatives, les électeur·ices décideront quelles orientations pour finir ils et elles veulent voir mettre en œuvre a la tête du pays. Pour autant les insoumis·es ne font pas cavalier seul et ne revendiquent aucune hégémonie dans la représentation politique. Aux élections européennes et aux élections municipales, La France insoumise a formé ou appuyé des listes composées à partir de tous les horizons associatifs, politiques et syndicaux. Aux prochaines élections régionales et départementales nous souhaitons agir de même. Certes les choix d’orientations fondamentaux pour le pays concernant, par exemple, le projet de 6e République, l’Union européenne, le nucléaire, le système des retraites nous séparent des propositions d’autres organisations politiques. Mais ces différences ne sont pas impliquées par le niveau départemental et régional dans le cadre de leurs pouvoirs actuels. Il est possible DE PROMOUVOIR LORS DE ces deux élections LES idées et programmes partagés. Cela nous permettrait de faire progresser les causes communes qui peuvent régler les problèmes concrets de notre peuple. Pour La France insoumise, le rendez vous électoral de mars 2021 est l’occasion de proposer : La mise en place d’un bouclier social et sanitaire par les régions et les départements : en commençant par l’exigence du remboursement des sommes dues par l’état aux départements (RSA, routes), Développement de la gratuité MAIS QUI PAYE IN FINE (transports, masques, cantines et fournitures scolaires…) conditionnalitéS sociale et écologique des aides aux entreprises ACCROITRE LE Développement des services publics de proximité Arrêt du travail détaché Plan d’action sociale départemental au service de la dignité des personnes à commencer par nos aîné.e .s dans les Ehpad (EUH PLUS CONCRETEMENT) Aide aux personnes en difficulté plutôt que la chasse aux pauvres Plan de formation et d’emploi pour les jeunes en difficulté (J'AI 60 ANS ET J'AIMERAIS BIEN AVOIR UN EMPLOI MOI AUSSI° Egalité d’accès à internet avec accès à la 4G mais refus du déploiement de la 5G, PREFERER LE DLOIEMENT DE LA FIBRE. (5G > VOEUX PIEU, ETUDIER LES IMPACTS ET METTRE DES CLAUSES DE SECURITE) Engager la bifurcation écologique en refusant l’ouverture à la concurrence des TER (STOP AUX ACRONYMES) et en développant les lignes d’intérêt local ; EN LIMITANT LE FRET ROUTIER INTERNATIONAL; en développant un plan de réduction de la consommation d’énergie, de passage aux énergies renouvelables et d’aide aux relocalisations ; en s’appuyant sur le levier des cantines scolaires : création d’emplois par le développement de l’agriculture biologique et paysanne, formation professionnelle pour permettre la reconversion dans les métiers de l’environnement, arrêt de l’artificialisation des terres agricoles et des GPII (STOP AUX ACRONYMES) pour permettre la relocalisation des productions agricoles et le développement des circuits courts. Démocratiser les collectivités territoriales : engagement des futurs élu·es insoumis·es à faire vivre le principe de révocation ; COLLABORATION CITOYENNE; démocratisation de la gestion de l’eau en mettant un terme aux délégations de service public et en passant à une gestion publique, citoyenne et écologique de l’eau ; démocratisation de la vie associative en stoppant la logique de soumission des associations aux critères du marché ; faire respecter sur tout le territoire l’égalité des droits sociaux et environnementaux. Dès lors il est possible selon nous d’agir avec toutes celles et ceux qui inscrivent leur action dans une opposition claire au gouvernement et rejettent les politiques anti-sociale et anti écologique du libéralisme. Nous devons être utiles en apportant des réponses immédiates aux problèmes des gens. Avec les citoyen·nes engagé·es dans les combats écologiques, sociaux et démocratiques, peuvent surgir, partout dans le pays, des coalitions victorieuses. Elles doivent d’après nous être identifiées sous leur propre label davantage que par la liste des organisations qui les soutiennent. Au printemps dernier, La France insoumise a pris l’initiative de rencontrer les forces se revendiquant de l’alternative au libéralisme : (STOP AUX ACRONYMES) la GRS, le PCF, Génération.s, le NPA et EELV. A l’ensemble de nos interlocuteurs nous avons dit notre volonté d’ouvrir des discussions couvrant la période jusqu’aux prochaines élections législatives. en commençant par la recherche d’une cohérence nationale pour les élections départementales et régionales. Six mois nous séparent des prochaines élections départementales et régionales. La France insoumise propose d’élargir les discussions à GDS (STOP AUX ACRONYMES) et Place publique, de les accélérer à tous les niveaux et de s’accorder sur un cadre national commun. A PARTIR DE Là TROP DE BLABLA 10 LIGNES AU LIEU DE 20 DOIVENT SUFFIRE EN CONCLUSION Nous pourrions alors vérifier notre capacité à garantir la cohérence et la clarté du programme autour duquel nous pourrions nous retrouver, la large ouverture de nos listes aux citoyen·nes non encarté·es, l’attention portée à la parité parmi les têtes de listes, ainsi que l’équilibre indispensable à la réussite d’une possible coalition. Les prochains rendez-vous électoraux ne peuvent être rabougris à une lutte des places entre organisations. Encore moins à une opération d’hégémonie d’une force sur les autres. Ils doivent tendre vers une fédération populaire en portant les candidatures LAÏQUES de syndicalistes, de féministes, de gilets jaunes, de lanceurs d’alerte, militant·es associatif·ves, antiracistes, de citoyens et citoyennes mobilsé·es. Ils doivent permettre de convaincre les jeunes et les classes populaires de se saisir du bulletin de vote pour exprimer lors de ces échéances leur refus des politiques de Macron. Pour nous l’objectif n’est pas de chercher à imposer des têtes de listes insoumises dans l’ensemble des régions et départements du pays. Évidemment nous pensons aussi être capables d’en mener. Mais nous voulons essentiellement que nul ne décourage la mobilisation en se l’appropriant dans le registre politicien qui a si souvent prévalu. Au service du peuple et non des partis, nous proposons donc de mettre en place dans un cadre national des coalitions représentatives, dans la composition des listes et le choix des têtes de listes, de la diversité de celles et ceux qui les soutiennent pour mettre en œuvre des programmes de rupture sociale, écologique et démocratique dans les départements et régions du pays.

2 septembre 2020 16:25
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Refuser absolument les financements publics aux établissements d'enseignement privé. L'argent public doit aller à l'école publique !

2 septembre 2020 16:26
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Le risque de la "deuxième vague" du COVID ne peut être un argument. Cet argument a été instrumentalisé par le gouvernement pour faire peur, pour que chacun reste isolé. Les mouvements sociaux en France sont inexistant depuis le déconfinement. Le port du masque est entretenu et continue d'être instrumentalisé pour que la population se tienne loin des lieux de rassemblements possibles. Les PME/PMI et les indépendants vont payer très cher cette mesure. Moi's de gens dans les rues, dans les lieux publics, dans les boutiques, bars, restaurants. Et s'il y a un risque de rassemblement alors ce sont des décisions locales qui posent des contraintes. Ainsi la culture est massacrée, exemple orchestre national de Lille imposition d'une jauge à 500 spectateurs (ça fait 1 siège occupé avec le masque sur trois) au théâtre d'Arras pas de jauge... Aucun indice ne montre le risque d'une 2ème vague alors qu'on nous la promet depuis le déconfinement. La FI reprend cet argument ce qui voudrait laisser à penser que la FI serait d'accord avec un 2eme confinement avec tous les dégâts et catastrophes subis au 2er confinement. Les masques gratuits ne vont pas résoudre le saccage de l'économie et de la culture, ni le désastre humain subi par la population. Le port du masque est une maltraitance. Et on pourrait se poser la question, est ce une instrumentalisation de la part de la FI même si c'est un argument social (la gratuité)?

2 septembre 2020 16:31
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Quant à l’initiative de rencontrer les forces se revendiquant de l’alternative au libéralisme : la GRS, Génération.s, et Place publique ne sont que des bras de cette hydre qu'est le PS dont le talent incontestable est de faire perdurer l'illusion qu'il est un parti de GAUCHE et donc une alternative au libéralisme. Je suis sûre que, loin de cautionner cette illusion, nous avons la responsabilité de l'anéantir au plus vite et que c'est l'urgence pour lutter contre l'abstention. Au sujet de la 2ème vague de la pandémie : je rejoins ceux qui doutent qu'il faille cautionner cette affirmation gouvernementale avant tout liberticide. Ce qui n'empêche pas de dénoncer que cette hypothèse sert de prétexte aux projets les plus funestes de la macronie. Donc oui aux fédérations populaires et non à l'union avec le PS et ses filiales. Salut à vous, braves insoumis (ises).

2 septembre 2020 16:39
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Supprimer toute référence à "la deuxième vague Covis 19" (voir mail du 3/09 de [email protected])

2 septembre 2020 17:15
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La réforme territoriale imposée par Hollande sans la moindre concertation sérieuse, faite sur un coin de table a abouti à n'importe quoi. Ainsi l'Auvergne a été rattachée de façon totalement arbitraire à Rhône-Alpes. Résultat pour l'Auvergne : des centaines d'emplois ont été supprimés ou délocalisés. Clermont-Ferrand a perdu son statut de capitale régionale et les instances de décision ont migré à Lyon. Sous prétexte de masse critique économique et d'économies d'échelle, on a, comme avec la création des métropoles, éloigné les citoyen.ne.s des centres de décision et fait reculer la démocratie. L'exemple de l'Auvergne est valable pour d'autres régions qui sont dans la même situation. Aussi les citoyen.ne.s devraient pouvoir revenir sur cette réforme et choisir l'échelon administratif qui leur convient. Cette procédure pourrait se faire par référendum avec des modalités à définir.

2 septembre 2020 17:18
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C’est parfait pour moi

2 septembre 2020 17:19
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La crise du logement n’est pas mentionnée et elle a aussi toute son importance. Le manque de logements sociaux par rapport à une demande croissante, ces mêmes logements qui ne sont pas forcément attribués aux personnes les plus démunis, pas assez de PLAI, la spéculation, le 115 débordé ( seulement 1 appel sur 10 reçoit une réponse en Haute Garonne), les logements non adaptés (handicap, personnes âgées), le non respect du droit à réquisition... Autre sujet non abordé, la petite enfance, les modes de garde, le métier d’assistante maternelle non valorisée ( je suis assistante maternelle), les droits de l’enfant, les violences faites à l’enfant ....

2 septembre 2020 17:35
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A votre avis, à combien de personnes est-il déjà arrivé de tourner la tête à une personne à genou ou assis dans la rue, pour ne pas avoir la honte de lui refuser quelques piécettes ? Combien de personne un sans-abri voit passer devant lui chaque jour, dans un sens puis dans l'autre, sans regard ou parole, comme s'il était invisible ? Cette honte doit cesser. Nous devons réintégrer tout ces gens abandonnés et, selon moi, seul les services publiques des départements peuvent organiser cela. Je n'ai jamais vu une telle proposition dans aucune élection, aucun programme politique (quelque soit l'échelle) ne parlent jamais de régler le problème d'être sans abri. Il s'agit d'être humain dont nous avons pourtant tant besoin aujourd'hui pour construire la bifurcation écologique. Selon moi,nous ne pouvons pas attendre que la personne dans la rue, qui a tout perdu, " se bouge et trouve du travail s'il en a vraiment envi" (car selon beaucoup, ils méritent voire apprécient leur sort). Comment quelqu'un sans papier d'identité, sans logement, adresse postale, argent, document administratives etc.. pourrait se rendre à pole-emploi et chercher du travail ? Sur quel compte bancaire les aides sociales lui serait versées ? Quelle motivation cette personne pourrait trouver, alors que la société ne lui adresse même plus un regard depuis des semaines, des mois, des années ? Nous devons soignez l'humain d'abord ! Physiquement, mentalement, moralement, psychologiquement, socialement. Et après, les projets professionnels, économiques, intellectuels etc.. ressurgiront automatiquement de l'Homme ou de la Femme soigné par la société. Je propose la création d'un nouveau service publique : celui qui accueille ceux qui n'ont pas su faire, n'ont pas eu d'aide, qui ont raté, qui ont tout perdu, mais qui restent pourtant des gens du peuple qui ont le droit de recommencer. Évidemment, aujourd'hui nous parlons peut-être de centaines de milliers de personnes à relancer dans la vie de la communauté, mais l'échec et l'accident existera toujours tant que nous serons humain. La fraternité du peuple français, l'unité de la république EST l'ultime bouclier sociale face au malheur. Ce nouveau service public serait un bâtiment qui permettra d'accueillir la personne pour qu'elle puisse avoir un toit sur la tête et un lit chaud. Une cantine (bio de préférence :-) ), des médecins, des psychologues, des assistant(e)s sociales, des êtres humains... pour manger, boire, se soigner, discuter, refaire tout ces papiers, redonner les bases nécessaire pour ré-intégrer la société. Quand la personne sera soigné. Elle pourra garder ce pied-à-terre pour avoir une adresse postale, avec aucune pression de délai : personne ne doit se retrouver assis par terre au milieu des déchets, des excréments, du mépris ou de la honte de ceux qui regardent de haut. Ainsi, des démarches pourront être faites par la personne, auprès de pole-emploi, de la CAF, des banques etc.. pour se relancer, recréer un compte bancaire, se refaire quelques sous pour reprendre une autonomie petit à petit. Tout ceci le temps que la personne retrouvent un travail et un logement obtenu par leur propre volonté de continuer à avancer !

2 septembre 2020 18:42
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bonjour Je propose que le paragraphe relatif à la démocratisation soit renforcé. Pour cela: 1) instauration d'un réseau citoyen pour associer les citoyens à la gestion des départements et régions (formule à adapter au contexte local) 2) refus de participer (financièrement ou institutionnellement) à toute forme de nouvelles structures intercommunales ou régionales, mais encouragement à la coopération volontaire entre collectivités. En ce qui concerne les priorités, je propose que l'accent soit mis amplement sur la jeunesse (lycées, collèges, installations sportives populaires et accessibles -non aux installations prestigieuses, mais oui aux installations ouvertes aux jeunes, avec incitation à la participation des jeunes utilisateurs à la gestion des installations).

2 septembre 2020 19:34
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Texte intéressant mais il faut supprimer " La Pandémie , la menace d'une seconde vague. qui est très anxiogène et qui n'est pas prouvée par des éminents spécialistes ( pas ceux des Mérdias ) . Non aux politiques neo-liberales bien sûr avec un programme ant-capitaliste ,écologique et démocratique . Mette l'accent sur les services publics ( eau, logements décents pour tous, rénovation et construction d'écoles , de collèges , lycées avec plus de personnels dont des soignants ) , favoriser l'implantation d'entreprises locales en circuits courts en collaboration avec des agriculteurs bio , cantines bio . Des trains moins chers . Quant aux alliances politiques : NPA, PCF , les Verts (pas ceux de Jadot ) des socialos "triés sur le volet " , mais pas de Place Publique qui a bien soutenu Macron à son élection et qui ne représente en rien nos valeurs . Génération S me laisse un goût amer . Il serait judicieux de ne pas oublier les citoyens lamdas, GJ, les Assos , Attac qui sont des gens actifs .

2 septembre 2020 20:05
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ajouts pour la "bifurcation écologique": - arrêt de tout soutien ou autorisation éventuelle aux énergies fossiles et nucléaire. - arrêt de tout soutien ou autorisation éventuelle au glyphosate, néonicotinoïdes, sdhi et autres poisons chimiques répandus dans le milieu naturel. - création d'un service spécifique de la condition animale . - planification et règle verte. préciser l'urgence : l'état actuel des négociations avec les forces de gauche est beaucoup trop vague et peu avancé, alors qu'il reste peu de temps pour fixer les principes et la méthode. LFI se doit de formuler une proposition plus complète et précise.

2 septembre 2020 21:13
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1) Pour ce qui est de la pandémie, je ne pense pas que l'on doive faire référence à une deuxième vague. Rien n'est certain et nous devons donc rester prudents. 2) Ce texte se veut être un appel pour des convergences d'union pour les élections départementales et régionales. Il faut donc mettre l'accent sur ce qui peut nous rassembler et indiquer les lignes fondamentales d'un programme de rupture à ce niveau. Pourquoi parler des divergences qu'il y a pour l'élection présidentielle ? Ce n'est pas utile pour le moment. Les autres partenaires éventuels peuvent évoluer. 3) Il faut insister sur un autre aménagement du territoire. Il faut arrêter ces immenses métropoles qui concentrent tout. Elles sont trop grandes et créent des problèmes écologiques et humains insolubles (transport, logements ...). A contrario il faut développer les zones éloignées des grandes agglomérations. Cela veut dire des infrastructures importantes : transport, éducation, culture, santé et bien évidemment emploi. 4) Il faut absolument aider l'agriculture biologique, favoriser les circuits courts, aller vers des cantines bio partout. Cela passe par des aides à la formation des agriculteurs, les jeunes mais aussi les autres, ceux déjà installés, qu'il est nécessaire d'accompagner. 5) Les départements s'occupent des collèges, les régions des lycées. Il faut du photovoltaïque partout. 6) Il est essentiel de faire vivre pleinement la démocratie à tous les échelons. Pour l'instant on vote tous les 6 ans et puis on ne sait plus ce qui se passe. C'est encore plus vrai dans ces régions gigantesques, mais pour l'instant nous devons faire avec. Il faut absolument imposer les Référendums d'Initiative Citoyenne partout. 7) Si l'on veut que les gens aillent voter il faut les associer à l'élaboration des programmes. Nous traçons un cadre national mais ensuite celui-ci doit être précisé localement. C'est à ce moment là qu'il est nécessaire de faire intervenir les citoyens. 8) Certains proposent de parler d'un programme anticapitaliste de rupture sociale, écologique et démocratique. Je suis d'accord avec cela. Christian Combes (GA de St Mathieu 34)

2 septembre 2020 21:23
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Ajout en fin de texte: Nous veillerons à une répartition équilibrée dans les départements, entre ville et campagne, entre ville centre et cantons ruraux, en équilibrant la représentation géographique de nos candidats, éligibles ou en position suivante. Dans un souci d’éducation et de formation, nous permettrons la rotation des élus au cours du mandat. Afin de faciliter les discussions locales, la France Insoumise facilitera le travail de réflexion collective dans les entités électorales concernées, départements et régions, en favorisant les échanges collectifs.